Cette première rencontre qui se tient six mois après la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation vise à en évaluer la mise en œuvre afin de faire converger les points de vue et de mutualiser les efforts en faveur à cet effet.
"Je demeure convaincu que cet accord est une opportunité et une chance de parvenir à la paix et à la concorde nationale tant attendues par les Centrafricains, mais ceci à la seule condition que les engagements pris soient respectés et exécutés de bonne foi par tous ", a déclaré le Premier-ministre.
« Nous avons tout à gagner à rebâtir la sécurité dans notre pays », a souligné Firmin Ngrébada, qui a félicité et encouragé ceux qui ont adhéré à la mise en œuvre de l’accord, tout en exhortant ceux qui hésitent encore à respecter les engagements en leur emboîtant le pas.
Le représentant spécial du président de la Commission de l’Union africaine, Benoît-Mathias Matondo, a fait l’état des lieux de la mise en œuvre de l’accord, dénonçant sa violation systématique par certains groupes armés.
Il a relevé que les garants et les facilitateurs ont pris acte des agissements du Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) d’Abdoulaye Miskine, qui compromettent les efforts de paix et de réconciliation en République centrafricaine.
«Les Garants et les facilitateurs ont pris bonne note du projet du gouvernement centrafricain de lancer un mandat d’arrêt contre Abdoulaye Miskine », a souligné l’Ambassadeur Benoît-Mathias Matondo.
Pour sa part, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Mankeur Ndiaye, a renouvelé l’engagement de la MINUSCA à œuvrer aux côtés du gouvernement, en coopération avec les garants et les facilitateurs et le soutien de la communauté internationale pour la mise en œuvre de l’accord en faveur du retour de la paix en République centrafricaine.
"A partir de cette réunion du 23 août, tout ce qui a été toléré jusqu’à présent ne le sera plus, les garants et les facilitateurs sont en train de travailler pour préciser davantage le type de sanction prévue par l’accord politique pour la paix et la réconciliation", a-t-il souligné.
Les travaux de cette première réunion devraient se poursuivre ce samedi 24 août à Bangui.
Signé le 6 février 2019 à Bangui, l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine vise à obtenir un désarmement complet des groupes armés actifs sur le territoire.
"Je demeure convaincu que cet accord est une opportunité et une chance de parvenir à la paix et à la concorde nationale tant attendues par les Centrafricains, mais ceci à la seule condition que les engagements pris soient respectés et exécutés de bonne foi par tous ", a déclaré le Premier-ministre.
« Nous avons tout à gagner à rebâtir la sécurité dans notre pays », a souligné Firmin Ngrébada, qui a félicité et encouragé ceux qui ont adhéré à la mise en œuvre de l’accord, tout en exhortant ceux qui hésitent encore à respecter les engagements en leur emboîtant le pas.
Le représentant spécial du président de la Commission de l’Union africaine, Benoît-Mathias Matondo, a fait l’état des lieux de la mise en œuvre de l’accord, dénonçant sa violation systématique par certains groupes armés.
Il a relevé que les garants et les facilitateurs ont pris acte des agissements du Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) d’Abdoulaye Miskine, qui compromettent les efforts de paix et de réconciliation en République centrafricaine.
«Les Garants et les facilitateurs ont pris bonne note du projet du gouvernement centrafricain de lancer un mandat d’arrêt contre Abdoulaye Miskine », a souligné l’Ambassadeur Benoît-Mathias Matondo.
Pour sa part, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies, Mankeur Ndiaye, a renouvelé l’engagement de la MINUSCA à œuvrer aux côtés du gouvernement, en coopération avec les garants et les facilitateurs et le soutien de la communauté internationale pour la mise en œuvre de l’accord en faveur du retour de la paix en République centrafricaine.
"A partir de cette réunion du 23 août, tout ce qui a été toléré jusqu’à présent ne le sera plus, les garants et les facilitateurs sont en train de travailler pour préciser davantage le type de sanction prévue par l’accord politique pour la paix et la réconciliation", a-t-il souligné.
Les travaux de cette première réunion devraient se poursuivre ce samedi 24 août à Bangui.
Signé le 6 février 2019 à Bangui, l’accord politique pour la paix et la réconciliation en République Centrafricaine vise à obtenir un désarmement complet des groupes armés actifs sur le territoire.