Le Porte-parole Vladimir Monteiro a expliqué que le comité mixte chargé du recrutement de 1.000 policiers et gendarmes vient de publier la liste de 1.300 candidats dont 312 femmes.
Il a indiqué que la prochaine étape serait celle de la visite médicale en vue de parvenir au quota fixé et si possible il peut y avoir des séances d’entretiens.
Il a aussi souligné que depuis le démarrage du programme du désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement, dans l’ouest du pays, 1.930 combattants dont 54 femmes ont été démobilisés. Cette opération a permis de collecter 438 armes, 536 grenades, 31 roquettes et autres explosifs ainsi que 24.134 cartouches.
S’agissant de la situation sécuritaire de la préfecture de Bamingui-Bangoran, le chef de bureau de la MINUSCA, Thomas Vaah a indiqué que la situation est calme à part quelques incidents remarqués.
Il a fait savoir que des menaces du Front populaire pour la renaissance de Centrafrique (FPRC) plane sur la ville de Ndélé et que la MINUSCA et les autorités locales suivent la situation de près.
Le Préfet de Bamingui-Bangoran, le commandant Amine Al Mahad a pour sa part noté que la crise sécuritaire qui avait prévalu à Birao dans la préfecture de la Vakaga a eu un impact négatif sur la ville de Ndélé en particulier et sur la préfecture de Bamingui-Bangoran en général, en ce sens que cela a pris une connotation ethnique.
Selon lui, des rumeurs persistantes d’une attaque imminente dans la ville de Ndélé a fait fuir la population dans leurs champs et qu’on assiste aujourd’hui à une concentration des éléments du FPRC dans la sous-préfecture de Bamingui.
« C’est pour cette raison que je plaide pour l’envoi des FACA et des FSI à Ndéle afin de redonner confiance à la population à l’instar des autres villes des provinces qui ont déjà chez elles les forces de défense et de sécurité », a-t-il poursuivi.
Il a indiqué que la prochaine étape serait celle de la visite médicale en vue de parvenir au quota fixé et si possible il peut y avoir des séances d’entretiens.
Il a aussi souligné que depuis le démarrage du programme du désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement, dans l’ouest du pays, 1.930 combattants dont 54 femmes ont été démobilisés. Cette opération a permis de collecter 438 armes, 536 grenades, 31 roquettes et autres explosifs ainsi que 24.134 cartouches.
S’agissant de la situation sécuritaire de la préfecture de Bamingui-Bangoran, le chef de bureau de la MINUSCA, Thomas Vaah a indiqué que la situation est calme à part quelques incidents remarqués.
Il a fait savoir que des menaces du Front populaire pour la renaissance de Centrafrique (FPRC) plane sur la ville de Ndélé et que la MINUSCA et les autorités locales suivent la situation de près.
Le Préfet de Bamingui-Bangoran, le commandant Amine Al Mahad a pour sa part noté que la crise sécuritaire qui avait prévalu à Birao dans la préfecture de la Vakaga a eu un impact négatif sur la ville de Ndélé en particulier et sur la préfecture de Bamingui-Bangoran en général, en ce sens que cela a pris une connotation ethnique.
Selon lui, des rumeurs persistantes d’une attaque imminente dans la ville de Ndélé a fait fuir la population dans leurs champs et qu’on assiste aujourd’hui à une concentration des éléments du FPRC dans la sous-préfecture de Bamingui.
« C’est pour cette raison que je plaide pour l’envoi des FACA et des FSI à Ndéle afin de redonner confiance à la population à l’instar des autres villes des provinces qui ont déjà chez elles les forces de défense et de sécurité », a-t-il poursuivi.