L’objectif de cette rencontre est de rappeler les magistrats à l’ordre, les exhorte au respect des décisions de l’état et au respect de l’éthique et de la déontologie du métier.
Selon le ministre d’état Arnaud Djoubaye Abazene, la gravite de l’heure nécessite la vigilance des magistrats et leur soumission aux principes fondamentaux qui légifèrent l’exercice du droit dans un pays où la justice est en proie de toute sorte de critique et de manipulation.
Dans cette perspective, le ministre a insisté sur le rôle et la mission que doivent jouer les magistrats afin de donner l’espoir à la population de continuer de croire à la justice de leur pays.
« Le magistrat doit être le miroir de la société, qui doit avoir une confiance permanente dans les décisions et les verdicts qui sont rendus public car la décision d’un juge doit être incontestable » a déclaré le garde des sceaux.
En outre, le ministre d’état a profité de cette rencontre pour expliquer aux magistrats l’attente du gouvernement par rapport au menu recette du ministère qui doit également contribuer au développement du pays.
« Je serais sans pitié vis-à-vis d’un magistrat qui fera l’objet d’un quelconque détournement des deniers publics car celui qui est appelé à condamner doit être irréprochable sur sa manière de se comporter dans son milieu socio-professionnel » a souligné le ministre Djoubaye Abazene.
Pour terminer, le ministre d’état a demandé aux magistrats d’être vigilent car le contexte actuel du pays nécessite l’implication de tous afin d’assurer la sécurité, la confiance, l’espoir et surtout la justice au peuple centrafricain.
Selon le ministre d’état Arnaud Djoubaye Abazene, la gravite de l’heure nécessite la vigilance des magistrats et leur soumission aux principes fondamentaux qui légifèrent l’exercice du droit dans un pays où la justice est en proie de toute sorte de critique et de manipulation.
Dans cette perspective, le ministre a insisté sur le rôle et la mission que doivent jouer les magistrats afin de donner l’espoir à la population de continuer de croire à la justice de leur pays.
« Le magistrat doit être le miroir de la société, qui doit avoir une confiance permanente dans les décisions et les verdicts qui sont rendus public car la décision d’un juge doit être incontestable » a déclaré le garde des sceaux.
En outre, le ministre d’état a profité de cette rencontre pour expliquer aux magistrats l’attente du gouvernement par rapport au menu recette du ministère qui doit également contribuer au développement du pays.
« Je serais sans pitié vis-à-vis d’un magistrat qui fera l’objet d’un quelconque détournement des deniers publics car celui qui est appelé à condamner doit être irréprochable sur sa manière de se comporter dans son milieu socio-professionnel » a souligné le ministre Djoubaye Abazene.
Pour terminer, le ministre d’état a demandé aux magistrats d’être vigilent car le contexte actuel du pays nécessite l’implication de tous afin d’assurer la sécurité, la confiance, l’espoir et surtout la justice au peuple centrafricain.