L’objectif de la réunion de haut niveau de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale, dont le thème est : « Les banques centrales face aux chocs exogènes : stratégies de sortie de crise », est d’apporter une réponse concertée aux défis auxquels font face les pays membres de la communauté.
L’initiative d’organiser une conférence sur les « chocs exogènes » offre un cadre propice au partage d’expériences et à des réflexions approfondies sur la gestion d’intérêts communs, a estimé Alamine Ousmane Mey, ajoutant que la recherche de solutions appropriées et pertinentes aux défis auxquels les économies des pays d’Afrique centrale sont périodiquement confrontés est nécessaire.
« La baisse des cours des matières premières, notamment les hydrocarbures, a durablement affecté la plupart des pays d’Afrique centrale », a-t-il également souligné.
Notant que la République Centrafricaine est le seul pays non-producteur de pétrole de la CEMAC, il a expliqué que les répercussions de la crise, fortement ressenties dans la zone et sont perceptibles en Afrique centrale sous la forme de « l’affaiblissement significatif de la croissance économique, la détérioration des finances publiques ainsi que le tarissement des réserves de change », adjoignant à ces facteurs l’insécurité lié au terrorisme.
Pour faire face aux chocs exogènes, Alamine Ousmane Mey a souligné « la nécessité de renforcer les capacités en matière d’infrastructures sans lesquelles les potentialités de croissance additionnelle seraient inexploitées ».
Il a aussi mis l’accent sur la prévention de ces chocs dans le but de les surmonter.
Il a dit espérer que « la participation à cette rencontre des Ministres des Finances est de nature à mutualiser les expériences et que chacun saura tirer profit des conclusions des discussions ».
Il a recommandé aux banques centrales d’avoir toujours à l’idée « les solutions innovantes aux fins du financer les marchés des capitaux et la modernisation des systèmes financiers ».
Le membre du gouvernement camerounais a salué à sa juste valeur l’intervention de la Banque centrale dans le financement soutenu des économies de la Communauté économique et monétaire en Afrique centrale et la consolidation des systèmes bancaires.
Il a conclu que l’action de la Banque centrale a été déterminante pour permettre aux Etats de faire face aux effets de la chute des revenus.
L’initiative d’organiser une conférence sur les « chocs exogènes » offre un cadre propice au partage d’expériences et à des réflexions approfondies sur la gestion d’intérêts communs, a estimé Alamine Ousmane Mey, ajoutant que la recherche de solutions appropriées et pertinentes aux défis auxquels les économies des pays d’Afrique centrale sont périodiquement confrontés est nécessaire.
« La baisse des cours des matières premières, notamment les hydrocarbures, a durablement affecté la plupart des pays d’Afrique centrale », a-t-il également souligné.
Notant que la République Centrafricaine est le seul pays non-producteur de pétrole de la CEMAC, il a expliqué que les répercussions de la crise, fortement ressenties dans la zone et sont perceptibles en Afrique centrale sous la forme de « l’affaiblissement significatif de la croissance économique, la détérioration des finances publiques ainsi que le tarissement des réserves de change », adjoignant à ces facteurs l’insécurité lié au terrorisme.
Pour faire face aux chocs exogènes, Alamine Ousmane Mey a souligné « la nécessité de renforcer les capacités en matière d’infrastructures sans lesquelles les potentialités de croissance additionnelle seraient inexploitées ».
Il a aussi mis l’accent sur la prévention de ces chocs dans le but de les surmonter.
Il a dit espérer que « la participation à cette rencontre des Ministres des Finances est de nature à mutualiser les expériences et que chacun saura tirer profit des conclusions des discussions ».
Il a recommandé aux banques centrales d’avoir toujours à l’idée « les solutions innovantes aux fins du financer les marchés des capitaux et la modernisation des systèmes financiers ».
Le membre du gouvernement camerounais a salué à sa juste valeur l’intervention de la Banque centrale dans le financement soutenu des économies de la Communauté économique et monétaire en Afrique centrale et la consolidation des systèmes bancaires.
Il a conclu que l’action de la Banque centrale a été déterminante pour permettre aux Etats de faire face aux effets de la chute des revenus.