L’objectif de ce compte-rendu est de porter à la connaissance de l’opinion publique les retombées de la coopération bilatérale entre la République Populaire de Chine et la République Centrafricaine, à la suite de son séjour en Chine, du 26 au 31 juillet dernier.
Le Ministre Moloua a spécifié que ces rencontres s’inscrivent dans la dynamique du sommet sur la coopération sino-africaine de Johannesburg des 4 et 5 décembre 2015 et qu’il y est invité en sa qualité de coordonnateur des projets financés par la République Populaire de Chine.
Le membre du gouvernement a signalé qu’à l’occasion, il a signé de nombreux contrats d’investissements avec des entreprises chinoises.
Les secteurs pour lesquels les contrats ont été signés sont : l’énergie, les mines, les infrastructures telles que les routes, l’aéroport international Bangui M’Poko, la réfection des avenues, la construction du chemin de fer Bangui-Bélabo, une ville située à l’est de la République du Cameron, les lampadaires solaires à travers la ville de Bangui et peut-être dans les villes de l’intérieur, etc.
Le projet le mieux avancé, selon le Ministre Moloua, est la migration des équipements et des diffusions de la radiodiffusion nationale et de la télévision nationale de l’analogique au numérique, grâce à l’intervention de Startimes.
Il a aussi fait savoir que Startimes est disposée pour, non seulement réhabiliter les infrastructures des médias publics mais aussi assurer la formation des techniciens, de façon à ce qu’ils s’adaptent aux nouveaux équipements qui seront mis à leur disposition.
Félix Moloua s’est surtout étonné du fait que la République Populaire de Chine met dans le panier de la coopération environ 60 milliards de dollars américains et que la République Centrafricaine n’arrive jamais à bénéficier d’une proportion de cette manne.
Après renseignement, il s’est aperçu qu’il fallait tisser des liens étroits avec l’ambassade de la République Populaire de Chine en République Centrafricaine et surtout de suggérer des projets solides.
L’une des causes du malheur de la République Centrafricaine dans ces types de rapport est l’instabilité politique, dominée par la destruction des biens publics et privés.
Le partenaire clef dans ce type de relations de coopération est, d’après le Ministre de la coopération, Eximbank, très douée dans l’importation et l’exportation.
Félix Moloua a prévenu qu’il ne peut pas se prononcer sur tous les projets visés et que le moment venu, ses collègues qui sont directement concernés par les réalisations s’y pencheront plus amplement.
Le Ministre Moloua a spécifié que ces rencontres s’inscrivent dans la dynamique du sommet sur la coopération sino-africaine de Johannesburg des 4 et 5 décembre 2015 et qu’il y est invité en sa qualité de coordonnateur des projets financés par la République Populaire de Chine.
Le membre du gouvernement a signalé qu’à l’occasion, il a signé de nombreux contrats d’investissements avec des entreprises chinoises.
Les secteurs pour lesquels les contrats ont été signés sont : l’énergie, les mines, les infrastructures telles que les routes, l’aéroport international Bangui M’Poko, la réfection des avenues, la construction du chemin de fer Bangui-Bélabo, une ville située à l’est de la République du Cameron, les lampadaires solaires à travers la ville de Bangui et peut-être dans les villes de l’intérieur, etc.
Le projet le mieux avancé, selon le Ministre Moloua, est la migration des équipements et des diffusions de la radiodiffusion nationale et de la télévision nationale de l’analogique au numérique, grâce à l’intervention de Startimes.
Il a aussi fait savoir que Startimes est disposée pour, non seulement réhabiliter les infrastructures des médias publics mais aussi assurer la formation des techniciens, de façon à ce qu’ils s’adaptent aux nouveaux équipements qui seront mis à leur disposition.
Félix Moloua s’est surtout étonné du fait que la République Populaire de Chine met dans le panier de la coopération environ 60 milliards de dollars américains et que la République Centrafricaine n’arrive jamais à bénéficier d’une proportion de cette manne.
Après renseignement, il s’est aperçu qu’il fallait tisser des liens étroits avec l’ambassade de la République Populaire de Chine en République Centrafricaine et surtout de suggérer des projets solides.
L’une des causes du malheur de la République Centrafricaine dans ces types de rapport est l’instabilité politique, dominée par la destruction des biens publics et privés.
Le partenaire clef dans ce type de relations de coopération est, d’après le Ministre de la coopération, Eximbank, très douée dans l’importation et l’exportation.
Félix Moloua a prévenu qu’il ne peut pas se prononcer sur tous les projets visés et que le moment venu, ses collègues qui sont directement concernés par les réalisations s’y pencheront plus amplement.