Organisé par le Haut Commissariat des Nations –Unies pour les réfugiés, cette formation vise à renforcer les capacités des participants en matière de la culture de la paix, de tolérance et des mécanismes de gestion et règlements des conflits au sein des communautés en vue d’asseoir une dynamique de paix favorable à la cohésion sociale et à la coexistence pacifique. La représentante du UNHCR a invité les participants à faire usage des connaissances acquises dans leurs cadres de vie respectifs, au foyer, dans la l’entourage immédiat, au quartier, dans l’arrondissement, la commune, la sous préfecture, la préfecture le milieu professionnel, religieux, récréatif et public. Le ministre de la Communication, de la Culture de la Paix, Alfred Taïnga Poloko, a estimé qu’il est nécessaire d’établir un plan de pérennisation de l’action entrepris en faveur de la paix afin de garantir la génération futur. Il a rassuré que le gouvernement mettra tout en œuvre pour que l’action de ce projet couvre l’ensemble du territoire national. « Cette action pourra non seulement s’inscrire dans le cadre de la prévention mais également pour la consolidation de la cohésion sociale dans les zones qui ont connues le désarmement des ex combattants en occurrence l’Ouham Pendé, Nana Gribidzi , Bamingui Bangoran, Haute Kotto et Vakaga », a-t-il souhaité. Il a invité les partenaires de la République Centrafricaine à copier l’expérience du Liberia, du Kenya, du Tchad et de la République démocratique du Congo au niveau de l’éducation communautaire qu’au niveau formelle. Il sied de rappeler que durant les travaux, les participants ont été édifiés à travers les exercices pratiques sur les ressemblances et différences, l’ouverture et l’exclusion, la confiance, la coopération, les contrôles des émotions et des préjugés, le sens de l’analyse, la résolution des problèmes, la négation et la médiation.
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