Le code de bonne conduite validé a pour but de rétablir la confiance des acteurs politiques à créer un climat de tolérance mutuelle et un comportement citoyen à observer avant, pendant et après les prochaines élections présidentielles et législatives.
Monsieur Tita Samba a fait savoir que certaines dispositions de cet Code stipule que " les médias publics sont tenus de procéder à l’éducation citoyenne. Ils réservent un traitement de l’information avec égalité et équité conformément à l’ordonnance relative à la liberté de communication en Centrafrique et les règles d’éthique et de déontologie du journalisme".
« Les médias privés s’engagent à respecter les règles d’éthique et de déontologie et à bannir toute discrimination. Ils s'interdisent tout traitement partial à l’égard des différents acteurs politiques pendant les périodes préélectorales et électorales. Ils se gardent de traiter de la vie privée, de l’appartenance religieuse, sociale et tribale des candidats », précise le code de bonne conduite.
Aux partis politiques, cet code de bonne conduite recommande aux candidats à l'élection présidentielle d’exercer leurs activités politiques dans le strict respect de la charte constitutionnelle de transition, du code électoral, des lois règlementaires en vigueur et du nouveau code de bonne conduite.
Organisé par le Haut Conseil de la Communication de Transition avec le concours du PNUD, cet atelier a réuni une vingtaine de participants; des cadres du HCCT, des responsables des médias publics et privés, s’inscrit dans la vision stratégique du gouvernement pour une meilleure efficacité de l’action publique.
Monsieur Tita Samba a fait savoir que certaines dispositions de cet Code stipule que " les médias publics sont tenus de procéder à l’éducation citoyenne. Ils réservent un traitement de l’information avec égalité et équité conformément à l’ordonnance relative à la liberté de communication en Centrafrique et les règles d’éthique et de déontologie du journalisme".
« Les médias privés s’engagent à respecter les règles d’éthique et de déontologie et à bannir toute discrimination. Ils s'interdisent tout traitement partial à l’égard des différents acteurs politiques pendant les périodes préélectorales et électorales. Ils se gardent de traiter de la vie privée, de l’appartenance religieuse, sociale et tribale des candidats », précise le code de bonne conduite.
Aux partis politiques, cet code de bonne conduite recommande aux candidats à l'élection présidentielle d’exercer leurs activités politiques dans le strict respect de la charte constitutionnelle de transition, du code électoral, des lois règlementaires en vigueur et du nouveau code de bonne conduite.
Organisé par le Haut Conseil de la Communication de Transition avec le concours du PNUD, cet atelier a réuni une vingtaine de participants; des cadres du HCCT, des responsables des médias publics et privés, s’inscrit dans la vision stratégique du gouvernement pour une meilleure efficacité de l’action publique.