Dans ce communiqué de presse, le Président du GEPPIC, M. Cyrus-Emmanuel Sandy rend responsables les forces internationales MISCA/Sangaris et le Gouvernement centrafricain pour leur complaisance à l’égard des forces négatives que sont les Séléka et les Anti-Balaka, et surtout leur refus incompréhensible de procéder au désarmement forcé des groupes armés conformément aux résolutions 2121 et 2127 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Face à cette situation, le GEPPIC demande aux Nations Unies de mettre en place une commission d’enquêtes judiciaires sur les circonstances de la mort des journalistes, des humanitaires et des citoyens en République centrafricaine depuis les derniers évènements survenus dans ce pays et d’engager des poursuites contre les auteurs, co-auteurs, commanditaires et complices desdits assassinats, compte tenu des faiblesses structurelles et politiques du Gouvernement centrafricain.
Le GEPPIC adresse ses sincères condoléances aux familles de la consœur Camille Lepage et rend hommage à tous les journalistes arbitrairement tués par les Séléka et les Anti-balaka en Centrafrique.
Par ailleurs, le GEPPIC rappelle à l’opinion nationale, au Gouvernement, aux forces MINUSCA, Sangaris et EUFOR et à toutes les forces belligérantes leurs obligations d’assurer la protection des journalistes en tout temps et en tout lieu, conformément aux dispositions de l’Ordonnance n°05.002 du 22 février 2005 relative à la liberté de la Communication en République centrafricaine.
Face à cette situation, le GEPPIC demande aux Nations Unies de mettre en place une commission d’enquêtes judiciaires sur les circonstances de la mort des journalistes, des humanitaires et des citoyens en République centrafricaine depuis les derniers évènements survenus dans ce pays et d’engager des poursuites contre les auteurs, co-auteurs, commanditaires et complices desdits assassinats, compte tenu des faiblesses structurelles et politiques du Gouvernement centrafricain.
Le GEPPIC adresse ses sincères condoléances aux familles de la consœur Camille Lepage et rend hommage à tous les journalistes arbitrairement tués par les Séléka et les Anti-balaka en Centrafrique.
Par ailleurs, le GEPPIC rappelle à l’opinion nationale, au Gouvernement, aux forces MINUSCA, Sangaris et EUFOR et à toutes les forces belligérantes leurs obligations d’assurer la protection des journalistes en tout temps et en tout lieu, conformément aux dispositions de l’Ordonnance n°05.002 du 22 février 2005 relative à la liberté de la Communication en République centrafricaine.