POLITIQUE
« Nous informons par des réunions hebdomadaires dans tous les lieux où nous sommes implantés les humanitaires de nos convois et nous répondons à toutes leurs demandes », a-t-il expliqué.
« Nous ne pouvons pas nous lancer dans une campagne de désarmement car, a-t-il déclaré, c’est un choix politique et d’une mission particulière qui doit se faire d’une façon très organisée avec les autorités locales, qui demande un autre dispositif que celui dont je dispose ».
« Nous ne pouvons pas faire la saisie des armes temporaires pour participer à pacifier les zones », a précisé le général Ganascia.
Au sujet de la rébellion de Joseph Kony à l’extrême est de la Centrafrique, le commandant de l'Eufor a affirmé être conscient « de la menace de cette nature, mais la résolution 1778 ne nous autorise pas ».
Rappelons que l’Eufor dont l’effectif est aujourd’hui de 3000 hommes sur l’ensemble des territoires tchadien et centrafricain a été lancée en mars dernier.
Il convient de noter que la résolution 1778 du Conseil de sécurité autorise la mise en place au Tchad et en République centrafricaine d'une présence multidimensionnelle destinée à créer les conditions favorables au retour volontaire, assurer la protection des réfugiés, des personnes déplacées et des populations civiles en danger, en facilitant la fourniture de l’assistance humanitaire dans l’est du Tchad et le Nord-Est de la Centrafrique et en créant les conditions en faveur d’un effort de reconstruction et de développement économique et social de ces zones.
« Nous ne pouvons pas nous lancer dans une campagne de désarmement car, a-t-il déclaré, c’est un choix politique et d’une mission particulière qui doit se faire d’une façon très organisée avec les autorités locales, qui demande un autre dispositif que celui dont je dispose ».
« Nous ne pouvons pas faire la saisie des armes temporaires pour participer à pacifier les zones », a précisé le général Ganascia.
Au sujet de la rébellion de Joseph Kony à l’extrême est de la Centrafrique, le commandant de l'Eufor a affirmé être conscient « de la menace de cette nature, mais la résolution 1778 ne nous autorise pas ».
Rappelons que l’Eufor dont l’effectif est aujourd’hui de 3000 hommes sur l’ensemble des territoires tchadien et centrafricain a été lancée en mars dernier.
Il convient de noter que la résolution 1778 du Conseil de sécurité autorise la mise en place au Tchad et en République centrafricaine d'une présence multidimensionnelle destinée à créer les conditions favorables au retour volontaire, assurer la protection des réfugiés, des personnes déplacées et des populations civiles en danger, en facilitant la fourniture de l’assistance humanitaire dans l’est du Tchad et le Nord-Est de la Centrafrique et en créant les conditions en faveur d’un effort de reconstruction et de développement économique et social de ces zones.
