L’objectif de la signature de cet accord de financement est de doter le gouvernement de la République Centrafricaine d’un fonds de 77 millions de dollars américains soit environ 39 milliards de francs CFA susceptible de lancer presque 11 projets de développement pour la période de 2015-2018 afin d’assurer aux citoyens des services de santé et d’éducation, la relance du processus économique et social ainsi que le maintien de la stabilité, à la suite des conséquences néfastes des crises que le pays a connues dans presque tous les secteurs.
Dans les détails, ce prêt, qui bénéficie de conditions concessionnelles, devra permettre de réhabiliter 66 centres de santé à Bangui et dans les villes de provinces, construire une clôture autour du Lycée Marie-Jeanne Caron et revoir l’ameublement, construire des amphithéâtres à l’Université de Bangui et construire une clôture autour du domaine universitaire.
Il est également question de renforcer la production de l’électricité à Bangui et éclairer les rues, réhabiliter la piste d’atterrissage de l’aéroport Bangui M’Poko, pour lui permettre de répondre aux standards internationaux, et réhabiliter et le bitumage de l’axe reliant le centre-ville, du point zéro à l’aéroport Bangui M’Poko, et remplacer 51 kilomètres de tuyau métallique du réseau de la Société de Distribution d’Eau en Centrafrique (SODECA) en tuyaux plastiques.
Quant au Directeur des opérations du Fonds saoudien de développement, l’ingénieur Hassan Al Attas, il a estimé que « par la signature de cet accord, qui concernera 11 projets, le montant total des contributions du Royaume d’Arabie Saoudite au financement des projets de reconstruction et de développement en République Centrafricaine est porté à 89 millions de dollars américains, soit environ 54 millions de francs CFA ».
La signature du prêt de 39 milliards de francs CFA est la résultante d’une diplomatie menée par le Premier ministre Mahamat Kamoum lui-même en janvier dernier, en rapport avec M. Laurent Foucher, ambassadeur itinérant auprès de l’Ambassadeur de la République Centrafricaine en Suisse, qui a facilité les négociations.
Il est à noter que les rapports entre la République Centrafricaine et le Fonds saoudien de développement avaient pris du plomb trente années durant, faute de remboursement de prêt, alors qu’auparavant, le fonds saoudiens s’était sérieusement impliqué dans la construction du barrage hydroélectrique de Boali III.
Dans les détails, ce prêt, qui bénéficie de conditions concessionnelles, devra permettre de réhabiliter 66 centres de santé à Bangui et dans les villes de provinces, construire une clôture autour du Lycée Marie-Jeanne Caron et revoir l’ameublement, construire des amphithéâtres à l’Université de Bangui et construire une clôture autour du domaine universitaire.
Il est également question de renforcer la production de l’électricité à Bangui et éclairer les rues, réhabiliter la piste d’atterrissage de l’aéroport Bangui M’Poko, pour lui permettre de répondre aux standards internationaux, et réhabiliter et le bitumage de l’axe reliant le centre-ville, du point zéro à l’aéroport Bangui M’Poko, et remplacer 51 kilomètres de tuyau métallique du réseau de la Société de Distribution d’Eau en Centrafrique (SODECA) en tuyaux plastiques.
Quant au Directeur des opérations du Fonds saoudien de développement, l’ingénieur Hassan Al Attas, il a estimé que « par la signature de cet accord, qui concernera 11 projets, le montant total des contributions du Royaume d’Arabie Saoudite au financement des projets de reconstruction et de développement en République Centrafricaine est porté à 89 millions de dollars américains, soit environ 54 millions de francs CFA ».
La signature du prêt de 39 milliards de francs CFA est la résultante d’une diplomatie menée par le Premier ministre Mahamat Kamoum lui-même en janvier dernier, en rapport avec M. Laurent Foucher, ambassadeur itinérant auprès de l’Ambassadeur de la République Centrafricaine en Suisse, qui a facilité les négociations.
Il est à noter que les rapports entre la République Centrafricaine et le Fonds saoudien de développement avaient pris du plomb trente années durant, faute de remboursement de prêt, alors qu’auparavant, le fonds saoudiens s’était sérieusement impliqué dans la construction du barrage hydroélectrique de Boali III.