Abdou Dieng a expliqué que son institution continuera d'assister les déplacés centrafricains tant que ces derniers, en majorité des agriculteurs, ne peuvent pas ou ne parviennent pas à cultiver pendant la saison agricole.
Il a indiqué que pour l’année 2018, le PAM a projeté d’appuyer 800.000 personnes, or le PAM n’a pu mobiliser à l’heure actuelle que 35% du budget, soit 50 millions de dollars américains et que le gap à combler est de 100 millions de dollars américains et si l’on veut vraiment aider 1,2 millions de déplacés, il faut que la communauté internationale vole au secours de la RCA.
Il a fait savoir que le PAM exécute d’autres programmes en Centrafrique et que les gens ne voient pas notamment l’appui aux petits producteurs et les cantines scolaires.
Selon lui, l’idéal serait que ce pays s’oriente davantage vers des programmes de développement plutôt que vers des programmes d’urgence qui consistent à donner de la nourriture aux gens à chaque fois.
Il a relevé que la RCA a souscrit aux objectifs du développement durable d’ici 2030, dont le pilier 2 vise à lutter contre la faim.
Pour Félix Gomez, le représentant du PAM en Centrafrique, la situation de Paoua (499 km au nord de Bangui) est préoccupante en ce sens qu’avant la recrudescence de la violence, l’organisation onusienne achetait des vivres entre les mains des petits producteurs qu'il a l’habitude d’appuyer.
Il convient de rappeler que la situation humanitaire en République Centrafricaine n’est pas aussi dramatique et que si seulement la violence pouvait s’arrêter maintenant; on s’orienterait vers le relèvement du pays.
Il a indiqué que pour l’année 2018, le PAM a projeté d’appuyer 800.000 personnes, or le PAM n’a pu mobiliser à l’heure actuelle que 35% du budget, soit 50 millions de dollars américains et que le gap à combler est de 100 millions de dollars américains et si l’on veut vraiment aider 1,2 millions de déplacés, il faut que la communauté internationale vole au secours de la RCA.
Il a fait savoir que le PAM exécute d’autres programmes en Centrafrique et que les gens ne voient pas notamment l’appui aux petits producteurs et les cantines scolaires.
Selon lui, l’idéal serait que ce pays s’oriente davantage vers des programmes de développement plutôt que vers des programmes d’urgence qui consistent à donner de la nourriture aux gens à chaque fois.
Il a relevé que la RCA a souscrit aux objectifs du développement durable d’ici 2030, dont le pilier 2 vise à lutter contre la faim.
Pour Félix Gomez, le représentant du PAM en Centrafrique, la situation de Paoua (499 km au nord de Bangui) est préoccupante en ce sens qu’avant la recrudescence de la violence, l’organisation onusienne achetait des vivres entre les mains des petits producteurs qu'il a l’habitude d’appuyer.
Il convient de rappeler que la situation humanitaire en République Centrafricaine n’est pas aussi dramatique et que si seulement la violence pouvait s’arrêter maintenant; on s’orienterait vers le relèvement du pays.