Le but de cette conférence de presse est de dresser l’état des lieux catastrophique de la gestion de l’ORGEM et proposer un plan d’urgence pour la relance des activités de cette institution.
Pour le Directeur général Héritier Rusdael Gnikoli, en créant l’ORGEM par la loi portant le code minier de la République Centrafricaine en 2009, l’Etat centrafricain lui avait octroyé des permis de fer de Bogoin, de Topa, le permis de recherche de calcaire de Bobassa et d’exploitation dont le permis d’exploitation expire en 2037.
Jouissant du propriétaire du titre minier de la cimenterie, a fait constater le Directeur Général Héritier Ruspael Gnikoli, que l’ORGEM n’a pas été associé à la négociation ni à l’obtention du financement et le déroulement des travaux.
Au regard des dispositions de la loi portant le code minier de la République Centrafricaine, a fait savoir le Directeur général Héritier Rusdael Gnikoli, les plus hautes autorités de la transition ont demandé à l’ORGEM d’assurer la coordination du projet de la cimenterie de Nzila dans la transparence.
Aux dires du directeur général Héritier Ruspael Gnikoli, la création d’une telle entreprise devrait respecter toutes les étapes du projet à savoir : la loi de l’offre et la demande ; les études des aspects techniques d’exploitation ; le financement du projet ; l’étude d’impact environnemental et social du projet.
De ce fait, a-t-il précisé, le projet de la cimenterie de Nzila a été l’objet d’une décision politique, sans tenir compte d’une étude de faisabilité au préalable dont le résultat que nous connaissons aujourd’hui.
Il convient de rappeler que l’ORGEM a été crée en 2009 et mis en œuvre en 2010 dont le mandat est d’améliorer les connaissances géologiques du pays et promouvoir la mise en valeur des ressources minières de la République Centrafricaine.
Pour le Directeur général Héritier Rusdael Gnikoli, en créant l’ORGEM par la loi portant le code minier de la République Centrafricaine en 2009, l’Etat centrafricain lui avait octroyé des permis de fer de Bogoin, de Topa, le permis de recherche de calcaire de Bobassa et d’exploitation dont le permis d’exploitation expire en 2037.
Jouissant du propriétaire du titre minier de la cimenterie, a fait constater le Directeur Général Héritier Ruspael Gnikoli, que l’ORGEM n’a pas été associé à la négociation ni à l’obtention du financement et le déroulement des travaux.
Au regard des dispositions de la loi portant le code minier de la République Centrafricaine, a fait savoir le Directeur général Héritier Rusdael Gnikoli, les plus hautes autorités de la transition ont demandé à l’ORGEM d’assurer la coordination du projet de la cimenterie de Nzila dans la transparence.
Aux dires du directeur général Héritier Ruspael Gnikoli, la création d’une telle entreprise devrait respecter toutes les étapes du projet à savoir : la loi de l’offre et la demande ; les études des aspects techniques d’exploitation ; le financement du projet ; l’étude d’impact environnemental et social du projet.
De ce fait, a-t-il précisé, le projet de la cimenterie de Nzila a été l’objet d’une décision politique, sans tenir compte d’une étude de faisabilité au préalable dont le résultat que nous connaissons aujourd’hui.
Il convient de rappeler que l’ORGEM a été crée en 2009 et mis en œuvre en 2010 dont le mandat est d’améliorer les connaissances géologiques du pays et promouvoir la mise en valeur des ressources minières de la République Centrafricaine.