POLITIQUE
L’objectif de cette restitution est de porter à la connaissance du public le contenu de la Convention cadre de partenariat entre l’OFPPT et l’ACFPE signée le 12 mai dernier à Casablanca au Maroc.
D’après le Directeur général de l’ACFPE, les programmes de coopération dans le cadre de cette convention concernent les appuis aux programmes de restructuration et de mise à niveau du système de la formation professionnelle en République Centrafricaine ; la mise en place d’un système d’ingénierie de formation initiale et continue relatif aux secteurs prioritaires ; le développement de la formation par alternance ainsi que l’accompagnement à la mise à jour des programmes de formation dans les filières définis par l’ACFPE.
Il a également défendu « l’appui au développement d’un système de formation dans le milieu carcéral ».
Jean-Pierre Douzima a aussi évoqué la « problématique de l’octroi de bourses aux stagiaires centrafricains ; la formation d’un noyau de formateurs techniques et pédagogiques en vue d’assurer la vulgarisation des connaissances partout dans le pays ».
A l’inverse de ces ambitions, il a cependant déploré la prolifération des centres de formation professionnelle en République Centrafricaine, lesquels centres n’offrent aucune perspective d’emplois aux jeunes.
Il est à noter que l’OFPPT a pour mission de satisfaire les besoins du marché local en ressources humaines qualifiées au profit des opérateurs économiques ou en contribuant à l’amélioration de la compétitivité et favoriser l’employabilité des jeunes au regard de leurs cursus.
D’après le Directeur général de l’ACFPE, les programmes de coopération dans le cadre de cette convention concernent les appuis aux programmes de restructuration et de mise à niveau du système de la formation professionnelle en République Centrafricaine ; la mise en place d’un système d’ingénierie de formation initiale et continue relatif aux secteurs prioritaires ; le développement de la formation par alternance ainsi que l’accompagnement à la mise à jour des programmes de formation dans les filières définis par l’ACFPE.
Il a également défendu « l’appui au développement d’un système de formation dans le milieu carcéral ».
Jean-Pierre Douzima a aussi évoqué la « problématique de l’octroi de bourses aux stagiaires centrafricains ; la formation d’un noyau de formateurs techniques et pédagogiques en vue d’assurer la vulgarisation des connaissances partout dans le pays ».
A l’inverse de ces ambitions, il a cependant déploré la prolifération des centres de formation professionnelle en République Centrafricaine, lesquels centres n’offrent aucune perspective d’emplois aux jeunes.
Il est à noter que l’OFPPT a pour mission de satisfaire les besoins du marché local en ressources humaines qualifiées au profit des opérateurs économiques ou en contribuant à l’amélioration de la compétitivité et favoriser l’employabilité des jeunes au regard de leurs cursus.
