"Aujourd’hui, nous avons 50 journalistes assassinés et 300 journalistes sont en prison à travers le monde", a-t-il indiqué, précisant qu'il y a trois centrafricains parmi les journalistes assassinés.
Il a en conséquence appelé les dirigeants de ce monde à protéger les journalistes, qui ne font que leur travail, et encouragé les autorités nationales, notamment la Cour Pénale Spéciale qui sera bientôt opérationnelle à juger les graves crimes commis en République Centrafricaine dont ceuxdes journalistes assassinés ou torturés pendant la crise militaro-politique de 2000 à 2015.
En décembre 2013, la 68ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 2 novembre comme Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des Journalistes, exhortant les États membres à prendre des mesures précises pour combattre l’impunité.
Pour mémoire, la date du 2 novembre a été choisie en souvenir de l’assassinat, au Mali le 2 novembre 2013, de deux journalistes français, Ghislaine Dupont et Claude Verlon dont les assassins courent toujours.