L’objectif de cette publication est d’alerter l’opinion publique à la suite des constats par Fabrizio Hochschild lors ‘une visite de terrain le 29 septembre à Kaga Bandoro.
Le Coordonnateur humanitaire en République Centrafricaine a fermement condamné les attaques contre les acteurs humanitaires à Kaga Bandoro sous la forme d’agressions et de braquages devenus récurrents depuis le début du mois de septembre et qui ont été à l’origine du départ des acteurs humanitaires de la localité, alors que les populations ont encore besoin de leurs secours.
Il a exhorté ces fauteurs de troubles « à respecter sans condition le Droit international humanitaire, notamment le principe de neutralité selon lequel les travailleurs humanitaires accordent une aide sans discrimination ».
D’après le bilan, « 9 au 26 septembre 2016, plus de 16 cas de braquages de domiciles de travailleurs humanitaires nationaux ont été enregistrés. A cela s’ajoute le vol de matériel de valeur ainsi que les tentatives de cambriolage », note le message.
Et pourtant, a signalé le document, l’accalmie après les évènements de Ndomété a permis le retour des acteurs humanitaires qui ont « apporter une aide sanitaire et un appui Eau, Hygiène et Assainissement (EHA) aux populations. Des dons de médicaments, le renforcement du centre d’écoute pour la prise en charge des cas de traumatismes, la recherche des enfants séparés et la réunification familiale sont entre autres les principales actions qui avaient déjà été engagées ».
Le Coordonnateur humanitaire en République Centrafricaine a fermement condamné les attaques contre les acteurs humanitaires à Kaga Bandoro sous la forme d’agressions et de braquages devenus récurrents depuis le début du mois de septembre et qui ont été à l’origine du départ des acteurs humanitaires de la localité, alors que les populations ont encore besoin de leurs secours.
Il a exhorté ces fauteurs de troubles « à respecter sans condition le Droit international humanitaire, notamment le principe de neutralité selon lequel les travailleurs humanitaires accordent une aide sans discrimination ».
D’après le bilan, « 9 au 26 septembre 2016, plus de 16 cas de braquages de domiciles de travailleurs humanitaires nationaux ont été enregistrés. A cela s’ajoute le vol de matériel de valeur ainsi que les tentatives de cambriolage », note le message.
Et pourtant, a signalé le document, l’accalmie après les évènements de Ndomété a permis le retour des acteurs humanitaires qui ont « apporter une aide sanitaire et un appui Eau, Hygiène et Assainissement (EHA) aux populations. Des dons de médicaments, le renforcement du centre d’écoute pour la prise en charge des cas de traumatismes, la recherche des enfants séparés et la réunification familiale sont entre autres les principales actions qui avaient déjà été engagées ».