Le ministre André Nalké Dorogo a engagé chacun de nous de faire en sorte que la sensibilisation soit de mise. Cela permettra à nos jeunes enfants de prémunir et de faire en sorte que demain, nous ayons une société saine.
Il a également engagé chacun de nous de faire en sorte que la stigmatisation soit bannie et que les droits de personnes vivant avec le VIH soient reconnus notamment droit à l’emploi, à la vie et à la dignité.
Le Coordonnateur du Réseau Centrafricain des personnes Vivant avec le VIH/SIDA (RECAPEV), Luc Vendo a demandé au gouvernement la vulgarisation de la loi fixant les droits et obligations des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) non effective.
Le Coordonnateur du RECAPEV, Luc vendo a relevé certains défis notamment l’insuffisance de décentralisation des Centres des prises en charge des patients dans nos provinces : prise en charge des enfants par ARV encore limitée au Complexe Pédiatrique de Bangui ; rupture en ARV avec ses conséquences sur la vie des PVVIH.
Il a fait un plaidoyer auprès du gouvernement qui a eu la charge de la mobilisation des ressources conséquentes pour garantir un stock de sécurité intempestive, préjudiciable à la survie des PVVIH, envisager la possibilité de subventionner le RECAPEV sur le budget de l’Etat afin de le rendre autonome.
Le Président du groupe thématique ONUSIDA, Dr. Zakaria Maïga a indiqué que le nombre de nouvelles infections par le VIH baisse constamment ou se stabilise dans les pays. Toutefois, les taux de nouvelles infections sont encore très élevés et demeurent une source de grave préoccupation.
« Les prestataires de services sociaux et de services de santé doivent mieux tenir compte de besoins précis des personnes vivant avec le VIH/Sida (PVVS). Ils doivent veiller à la confidentialité et prévenir la stigmatisation et la discrimination. Il revient aussi aux PVVS elles mêmes d’exercer leurs droits en sollicitant des services de conseil, de dépistage et de soutien», a-t-il ajouté.
« J’invite instamment les pays à œuvrer à la protection des droits de l’homme des personnes vivant avec le VIH/Sida, et notamment de leurs droits à l’emploi, à l’accès aux services financiers et aux services essentiels leur permettant de répondre à leurs besoins sociaux et économiques », a-t-il conclu.
Il a également engagé chacun de nous de faire en sorte que la stigmatisation soit bannie et que les droits de personnes vivant avec le VIH soient reconnus notamment droit à l’emploi, à la vie et à la dignité.
Le Coordonnateur du Réseau Centrafricain des personnes Vivant avec le VIH/SIDA (RECAPEV), Luc Vendo a demandé au gouvernement la vulgarisation de la loi fixant les droits et obligations des Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) non effective.
Le Coordonnateur du RECAPEV, Luc vendo a relevé certains défis notamment l’insuffisance de décentralisation des Centres des prises en charge des patients dans nos provinces : prise en charge des enfants par ARV encore limitée au Complexe Pédiatrique de Bangui ; rupture en ARV avec ses conséquences sur la vie des PVVIH.
Il a fait un plaidoyer auprès du gouvernement qui a eu la charge de la mobilisation des ressources conséquentes pour garantir un stock de sécurité intempestive, préjudiciable à la survie des PVVIH, envisager la possibilité de subventionner le RECAPEV sur le budget de l’Etat afin de le rendre autonome.
Le Président du groupe thématique ONUSIDA, Dr. Zakaria Maïga a indiqué que le nombre de nouvelles infections par le VIH baisse constamment ou se stabilise dans les pays. Toutefois, les taux de nouvelles infections sont encore très élevés et demeurent une source de grave préoccupation.
« Les prestataires de services sociaux et de services de santé doivent mieux tenir compte de besoins précis des personnes vivant avec le VIH/Sida (PVVS). Ils doivent veiller à la confidentialité et prévenir la stigmatisation et la discrimination. Il revient aussi aux PVVS elles mêmes d’exercer leurs droits en sollicitant des services de conseil, de dépistage et de soutien», a-t-il ajouté.
« J’invite instamment les pays à œuvrer à la protection des droits de l’homme des personnes vivant avec le VIH/Sida, et notamment de leurs droits à l’emploi, à l’accès aux services financiers et aux services essentiels leur permettant de répondre à leurs besoins sociaux et économiques », a-t-il conclu.