Placée sous la direction du ministre namibien de l'Environnement et du Tourisme, M. Uahekua Herunga, assisté de M. Luc Gnacadja, Secrétaire exécutif de la convention, dont le siège est à Bonn en Allemagne, cette 11ème session a pour objectif de discuter des moyens devant permettre de faire face à la désertification et à la détérioration des sols aux fins d'améliorer les conditions d’existence des populations vivant sur des territoires arides, de réduire l’impact de la sécheresse en maintenant et/ou en restaurant les sols ainsi que leur productivité.
Cette cession, qui a regroupé plusieurs milliers de délégués provenant d’environ 195 parties, organisations onusiennes, administrations et société civile, s’est appuyée sur quelques supports, entre autres, les recommandations de la 10ème session de la Conférence des parties de la Convention des Nations unies pour la lutte contre la désertification et les orientations du sommet Rio+20.
D’après les premières explications fournies par M. Nicaise Samedi-Karnou, les délégués devraient « fixer des objectifs se rapportant à la détérioration des sols et aux renforcements des initiatives visant à baisser les seuils de la dégradation des sols à l'échelle mondiale ».
Au cours des premiers jours des travaux, l’accent a été mis sur « la mobilisation des ressources afin de soutenir la mise en œuvre des recommandations grâce à la création d’un partenariat efficace entre les acteurs nationaux et internationaux, les ONGs et le secteur privé ».
Sur d’autres plans, le rôle des femmes dans la viabilité des projets, l’implication effective des parties dans les activités à compter de 2014, l’implication et la promotion des organisations de la société civile dans le processus NAP ont été évoqués.
Jusque-là, à l’issue des travaux en plénière, quelques décisions ont été adoptées à la suite des amendements. Il s’agit de la meilleure façon de mesurer les progrès accomplis sur les objectifs stratégiques et permettre à la Convention de lutte contre la désertification de devenir une autorité mondiale sur les connaissances scientifiques et techniques.
Pendant le développement des travaux, il a été procédé à la nomination de nouveaux vice-présidents pour la 12ème session. L’Algérie s’occupe du groupe Afrique, le Yémen pour l'Asie et du Pacifique, la Bosnie-Herzégovine pour l’Europe centrale et orientale et le Pérou pour l'Amérique latine et les Caraïbes.
Ayant pris conscience de l’enjeu de la mise en œuvre de la Convention, le Conseiller national de Transition, M. Nicaise Samedi-Karnou, a émis le vœu que « le gouvernement de la République Centrafricaine et ses partenaires tiennent le même langage pour engager le pays sur la voie de la lutte contre la désertification et la détérioration des sols ».
Cette cession, qui a regroupé plusieurs milliers de délégués provenant d’environ 195 parties, organisations onusiennes, administrations et société civile, s’est appuyée sur quelques supports, entre autres, les recommandations de la 10ème session de la Conférence des parties de la Convention des Nations unies pour la lutte contre la désertification et les orientations du sommet Rio+20.
D’après les premières explications fournies par M. Nicaise Samedi-Karnou, les délégués devraient « fixer des objectifs se rapportant à la détérioration des sols et aux renforcements des initiatives visant à baisser les seuils de la dégradation des sols à l'échelle mondiale ».
Au cours des premiers jours des travaux, l’accent a été mis sur « la mobilisation des ressources afin de soutenir la mise en œuvre des recommandations grâce à la création d’un partenariat efficace entre les acteurs nationaux et internationaux, les ONGs et le secteur privé ».
Sur d’autres plans, le rôle des femmes dans la viabilité des projets, l’implication effective des parties dans les activités à compter de 2014, l’implication et la promotion des organisations de la société civile dans le processus NAP ont été évoqués.
Jusque-là, à l’issue des travaux en plénière, quelques décisions ont été adoptées à la suite des amendements. Il s’agit de la meilleure façon de mesurer les progrès accomplis sur les objectifs stratégiques et permettre à la Convention de lutte contre la désertification de devenir une autorité mondiale sur les connaissances scientifiques et techniques.
Pendant le développement des travaux, il a été procédé à la nomination de nouveaux vice-présidents pour la 12ème session. L’Algérie s’occupe du groupe Afrique, le Yémen pour l'Asie et du Pacifique, la Bosnie-Herzégovine pour l’Europe centrale et orientale et le Pérou pour l'Amérique latine et les Caraïbes.
Ayant pris conscience de l’enjeu de la mise en œuvre de la Convention, le Conseiller national de Transition, M. Nicaise Samedi-Karnou, a émis le vœu que « le gouvernement de la République Centrafricaine et ses partenaires tiennent le même langage pour engager le pays sur la voie de la lutte contre la désertification et la détérioration des sols ».