Dans sa présentation, le Président du Conseil National de la Médiation, Jacques Bosso a révélé que la République Centrafricaine a connu des tribulations, dues au peu de crédit qu’on accorde à certaines valeurs.
Jacques Bosso a insisté sur deux types de paix que les Centrafricains doivent beaucoup y travailler : C’est la paix active, qui nécessite une transformation collective et institutionnelle, où des valeurs sont inculquées à travers l’éducation et la formation.
Le Président de ladite institution a souhaité que lorsqu’il y a des conflits dans le pays, il faut chercher à connaitre les racines pour y s’attaquer afin de trouver une solution durable, ceci pour éviter des crises à répétition.
Le Président du Haut Conseil de la Communication (HCC), José-Richard Pouambi, a quant à lui, indiqué que dans sa mission de régulation, son institution est garante de la protection de la liberté de la presse et veille sur la diffusion des émissions sur la culture de la paix, de la démocratie ainsi que les informations favorisant le développement socio-économique.
Selon José-Richard Pouambi, l’objectif recherché par son institution est d’appeler les autorités politiques de tout mettre en œuvre pour exécuter l’activité contenue dans le plan national de la prévention de l’incitation à la haine et à la violence et de consolider la paix en Centrafrique.
Pour le Cardinal Dieudonné Nzapalaïngua, l’un des représentants de la plateforme religieuse, « la diversité que nous composons en Centrafrique avec les cultures, les tributs et les sources de richesses, est complémentaire pour nous et non une source de division ».
Selon le Prélat, quand le peuple est uni, le plus souvent, le malin amène le désordre. Le peuple centrafricain doit être vigilant au nom d’un idéal qu’il s’est fixé pour consolider la paix.
Il convient de rappeler que les travaux de la 1ère session ordinaire de l’année du Conseil Economique et Social vont se poursuivre avec les examens et adoptions des rapports et prendront fin le 23 février prochain.
Jacques Bosso a insisté sur deux types de paix que les Centrafricains doivent beaucoup y travailler : C’est la paix active, qui nécessite une transformation collective et institutionnelle, où des valeurs sont inculquées à travers l’éducation et la formation.
Le Président de ladite institution a souhaité que lorsqu’il y a des conflits dans le pays, il faut chercher à connaitre les racines pour y s’attaquer afin de trouver une solution durable, ceci pour éviter des crises à répétition.
Le Président du Haut Conseil de la Communication (HCC), José-Richard Pouambi, a quant à lui, indiqué que dans sa mission de régulation, son institution est garante de la protection de la liberté de la presse et veille sur la diffusion des émissions sur la culture de la paix, de la démocratie ainsi que les informations favorisant le développement socio-économique.
Selon José-Richard Pouambi, l’objectif recherché par son institution est d’appeler les autorités politiques de tout mettre en œuvre pour exécuter l’activité contenue dans le plan national de la prévention de l’incitation à la haine et à la violence et de consolider la paix en Centrafrique.
Pour le Cardinal Dieudonné Nzapalaïngua, l’un des représentants de la plateforme religieuse, « la diversité que nous composons en Centrafrique avec les cultures, les tributs et les sources de richesses, est complémentaire pour nous et non une source de division ».
Selon le Prélat, quand le peuple est uni, le plus souvent, le malin amène le désordre. Le peuple centrafricain doit être vigilant au nom d’un idéal qu’il s’est fixé pour consolider la paix.
Il convient de rappeler que les travaux de la 1ère session ordinaire de l’année du Conseil Economique et Social vont se poursuivre avec les examens et adoptions des rapports et prendront fin le 23 février prochain.