L’enjeu de cette rencontre est de faire le point des nombreuses activités menées en collaboration avec certains partenaires, dont la presse sur le plan humanitaire en Centrafrique.
Ces activités sont axées sur la sécurité économique, l’accès à l’eau potable, la santé, la protection et la diffusion du droit international humanitaire, a indiqué Jean-François Sangsue.
S’agissant de la sécurité alimentaire, il a souligné que son institution a mis à la disposition des populations de biens de première nécessité, notamment de la nourriture et des moyens de production afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Selon Jean-François Sangsue, les actions du CICR sont visibles dans le domaine de l’accès à l’eau potable et de l’habitat où plus de 65000 déplacés de Bangui, de Kaga-Bandoro et Bambari ont été approvisionnés en eau potable et près de 12 500 personnes ont reconstruit leur maison grâce à l’appui de cette organisation internationale.
« Le CICR a poursuivi ses activités de production et de diffusion du Droit International Humanitaire(DIH) et de ses principes généraux auprès de toutes les parties en conflit, des acteurs impliqués dans les violences et des personnes ayant de l’influence dans la société », a-t-il précisé.
Le vice-président de l’Union des Journalistes de Centrafrique (UJCA), Guy Dingoté Kossani, a, quant à lui, exprimé la gratitude des professionnels des médias à la délégation du CICR pour l’attention particulière que son organisation porte à l’endroit des médias centrafricains et internationaux.
« J’apprécie cette approche qui permet à la presse de s’impliquer davantage dans leur publication les activités de cette institution en tenant compte de la déontologie et de l’éthique de leur métier », a-t-il expliqué.
Présent en RCA depuis 1983, LE CICR dispose d’une délégation à Bangui, des sous-délégations à Kaga-Bandoro, Bambari, Ndélé et un bureau à Birao.
Le CICR bénéficie des contributions provenant des Etats parties aux conventions de Genève, des sociétés nationales, d’organisations supranationales telles que l’Union Européenne et aussi des diverses collectivités publiques et sources privées.
L’enjeu de cette rencontre est de faire le point de nombreuses activités menées en collaboration avec certains partenaires dont la presse sur le plan humanitaire en Centrafrique.
Ces activités sont axées sur la sécurité économique, l’accès à l’eau potable, la santé, la protection et la diffusion du droit international humanitaire, a indiqué Jean-François Sangsue.
S’agissant de la sécurité alimentaire, il a souligné que son institution a mis à la disposition des populations de biens de première nécessité, notamment de la nourriture et des moyens de production afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Selon Jean-François Sangsue, les actions du CICR sont visibles dans le domaine de l’accès à l’eau potable et de l’habitat où plus de 65000 déplacés de Bangui, de Kaga-Bandoro et Bambari ont été approvisionnés en eau potable et près de 12 500 personnes ont reconstruit leur maison grâce à l’appui de cette organisation internationale.
« Le CICR a poursuivi ses activités de production et de diffusion du Droit International Humanitaire(DIH) et de ses principes généraux auprès de toutes les parties en conflit, des acteurs impliqués dans les violences et des personnes ayant de l’influence dans la société », a-t-il précisé.
Le vice-président de l’Union des Journalistes de Centrafrique (UJCA), Guy Dingoté Kossani, a, quant à lui, exprimé la gratitude des professionnels des médias à la délégation du CICR pour l’attention particulière que son organisation porte à l’endroit des médias centrafricains et internationaux.
« J’apprécie cette approche qui permet à la presse de s’impliquer davantage dans leur publication les activités de cette institution en tenant compte de la déontologie et de l’éthique de leur métier », a-t-il expliqué.
Présent en RCA depuis 1983, LE CICR dispose d’une délégation à Bangui, des sous-délégations à Kaga-Bandoro, Bambari, Ndélé et un bureau à Birao.
Le CICR bénéficie des contributions provenant des Etats parties aux conventions de Genève, des sociétés nationales, d’organisations supranationales telles que l’Union Européenne et aussi des diverses collectivités publiques et sources privées.
L’enjeu de cette rencontre est de faire le point de nombreuses activités menées en collaboration avec certains partenaires dont la presse sur le plan humanitaire en Centrafrique.