Le Président de la Bonne Gouvernance, Eugène Demba a témoigné que chaque personne avec qui Jacques Mbosso a travaillé gardera de lui un souvenir intarissable pour ses qualités humaines et professionnelles.
« Le souvenir que nous garderons de lui concerne d’une part son professionnalisme et sa sagesse avérés et d’autre part son talent de conseiller doublé de sa générosité et de son talent d’humoriste », a-t-il ajouté.
Dans l’oraison funèbre, le Magistrat Joseph Bindoumi a indiqué que Jacques Mbosso est né le 1er janvier 1949 à Batangafo (Nord). Il a démarré ses études primaires à l’école primaire de Batangafo de 1955 à 1962, où il a obtenu son Certificat d’Etudes Primaires Elémentaires (CEPE).
Joseph Bindoumi a fait savoir que Jacques Mbosso a fréquenté le Collège Barthélémy Boganda de Berberati en 1968, puis le Lycée Barthélémy Boganda de Bangui, avant son entrée à l’Université Jean-Bedel Bokassa de Bangui, où il obtient le diplôme de première et deuxième année en Droit de 1971-1973.
« Jacques Mbosso a été intégré dans la Fonction publique centrafricaine le 8 juillet 1972. Cette intégration ne l’empêcha pas de poursuivre un cursus universitaire, où il obtient en1986 le Doctorat à l’Université de Paris Sorbonne », a poursuivi le Magistrat Bindoumi.
Il a signalé que le regretté Mbosso fut nommé ministre d’Etat, ministre de la Justice et de la Réforme du Droit, garde des Sceaux de 1993 à 1995, puis est devenu le premier Président de la Cour de Cassation de la République Centrafricaine de 2011 à 2012 et Médiateur de la République depuis Février 2017.
Les qualités professionnelles du regretté ont permis à l’Etat de l’élever à la dignité de grande croix dans l’ordre du mérite centrafricain après avoir été grand Officier et commandeur.
Il convient de rappeler que Jacques Mbosso laisse derrière lui une veuve et quatre enfants et des petits fils.
« Le souvenir que nous garderons de lui concerne d’une part son professionnalisme et sa sagesse avérés et d’autre part son talent de conseiller doublé de sa générosité et de son talent d’humoriste », a-t-il ajouté.
Dans l’oraison funèbre, le Magistrat Joseph Bindoumi a indiqué que Jacques Mbosso est né le 1er janvier 1949 à Batangafo (Nord). Il a démarré ses études primaires à l’école primaire de Batangafo de 1955 à 1962, où il a obtenu son Certificat d’Etudes Primaires Elémentaires (CEPE).
Joseph Bindoumi a fait savoir que Jacques Mbosso a fréquenté le Collège Barthélémy Boganda de Berberati en 1968, puis le Lycée Barthélémy Boganda de Bangui, avant son entrée à l’Université Jean-Bedel Bokassa de Bangui, où il obtient le diplôme de première et deuxième année en Droit de 1971-1973.
« Jacques Mbosso a été intégré dans la Fonction publique centrafricaine le 8 juillet 1972. Cette intégration ne l’empêcha pas de poursuivre un cursus universitaire, où il obtient en1986 le Doctorat à l’Université de Paris Sorbonne », a poursuivi le Magistrat Bindoumi.
Il a signalé que le regretté Mbosso fut nommé ministre d’Etat, ministre de la Justice et de la Réforme du Droit, garde des Sceaux de 1993 à 1995, puis est devenu le premier Président de la Cour de Cassation de la République Centrafricaine de 2011 à 2012 et Médiateur de la République depuis Février 2017.
Les qualités professionnelles du regretté ont permis à l’Etat de l’élever à la dignité de grande croix dans l’ordre du mérite centrafricain après avoir été grand Officier et commandeur.
Il convient de rappeler que Jacques Mbosso laisse derrière lui une veuve et quatre enfants et des petits fils.