
Monseigneur Dieudonné Nzapalaïnga, lors de sa conférence de presse en compagnie de Richard Appora, l'évêque de Bambari
De retour d’un périple qui l’a conduit jusqu’à Amdafock, à la frontière centrafricano-soudanaise, Dieudonné Cardinal Nzapalaïnga a projeté un film documentaire présentant la vie quotidienne des populations d’Ouadda, d’Ouadda-Djalé, de Birao et d’Amdafock.
L’objectif recherché à travers la projection de ce film documentaire est de sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur les tristes réalités socio-économiques de ces localités.
« Dans le film que vous regarderez, et vous constaterez la dégradation très avancée des infrastructures scolaires, sanitaires et sociales ; les gens boivent la même eau que les animaux », a souligné le Cardinal.
Cette situation a amené la population à dire qu’elle est totalement abandonnée par le gouvernement dont la plupart des actions se limitent à Bangui et aux préfectures environnantes, a-t-il relevé.
Le prélat a fait savoir que son voyage dans la préfecture de la Vakaga lui a permis d’être à l’écoute des populations de cette localité qui ont enduré les conséquences néfastes de la crise militaro-politique et dont la foi en Dieu reste la seule voie pour survivre aux aléas.
« Pour que le pays puisse décoller positivement dans la voie du développement, il faut des hommes compétents, intègres et capables de conduire les autres dans la perspective du développement durable », a conclu le Cardinal.
L’objectif recherché à travers la projection de ce film documentaire est de sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur les tristes réalités socio-économiques de ces localités.
« Dans le film que vous regarderez, et vous constaterez la dégradation très avancée des infrastructures scolaires, sanitaires et sociales ; les gens boivent la même eau que les animaux », a souligné le Cardinal.
Cette situation a amené la population à dire qu’elle est totalement abandonnée par le gouvernement dont la plupart des actions se limitent à Bangui et aux préfectures environnantes, a-t-il relevé.
Le prélat a fait savoir que son voyage dans la préfecture de la Vakaga lui a permis d’être à l’écoute des populations de cette localité qui ont enduré les conséquences néfastes de la crise militaro-politique et dont la foi en Dieu reste la seule voie pour survivre aux aléas.
« Pour que le pays puisse décoller positivement dans la voie du développement, il faut des hommes compétents, intègres et capables de conduire les autres dans la perspective du développement durable », a conclu le Cardinal.