L'objet de la consécration est de donner l'opportunité au Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur de faire accéder le candidat au corps de Maîtres de Conférence du CAMES.
Pour la session de novembre 2015, 148 candidats issus de 12 pays d'Afrique s'étaient présentés, notamment du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de Centrafrique, du Congo, de la Côte d'Ivoire, du Gabon, de Madagascar, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo.
Selon les critères du CAMES, l'impétrant doit édité dix huit publications reconnues par la communauté savante, sept thèmes des travaux en cours et projets et autres activités universitaires notamment la réalisation de plusieurs colloques, la contribution à la communauté scientifique, l'organisation des colloques et des manifestations, les interventions sur les méthodes académiques, etc.
Les épreuves de l'agrégation se sont étalées sur une dizaine de jours devant un jury composé de quarante éminents spécialistes issus des communautés universitaires des pays membres du CAMES et des pays partenaires.
En Sciences de Gestion, 14 sous admissibles après la première épreuve, 12 admissibles à l'issue de la 2ème épreuve et enfin, 12 sont devenus agrégés, dont Henri Koulayom, représentant la République Centrafricaine dans la section sciences de gestion.
Henri Koulayome est le 1er candidat de la République Centrafricaine, toutes sections (sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion) confondues depuis 1982 date de la 1ère session du concours qui se tient les impaires (alors que le concours d'agrégation dans les sciences de médecines se tient les années paires).
Il convient de noter que la République Centrafricaine dispose actuellement de près d'une dizaine d'agrégés dont le Chef de fil est le Professeur titulaire Gérard Grézengué qui vient d'être rejoint cette année au CCI de Libreville par deux nouveaux Professeurs titulaires dont l'ancien Recteur de l'Université de Bangui Gustave Bobossi.
Pour la session de novembre 2015, 148 candidats issus de 12 pays d'Afrique s'étaient présentés, notamment du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, de Centrafrique, du Congo, de la Côte d'Ivoire, du Gabon, de Madagascar, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo.
Selon les critères du CAMES, l'impétrant doit édité dix huit publications reconnues par la communauté savante, sept thèmes des travaux en cours et projets et autres activités universitaires notamment la réalisation de plusieurs colloques, la contribution à la communauté scientifique, l'organisation des colloques et des manifestations, les interventions sur les méthodes académiques, etc.
Les épreuves de l'agrégation se sont étalées sur une dizaine de jours devant un jury composé de quarante éminents spécialistes issus des communautés universitaires des pays membres du CAMES et des pays partenaires.
En Sciences de Gestion, 14 sous admissibles après la première épreuve, 12 admissibles à l'issue de la 2ème épreuve et enfin, 12 sont devenus agrégés, dont Henri Koulayom, représentant la République Centrafricaine dans la section sciences de gestion.
Henri Koulayome est le 1er candidat de la République Centrafricaine, toutes sections (sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion) confondues depuis 1982 date de la 1ère session du concours qui se tient les impaires (alors que le concours d'agrégation dans les sciences de médecines se tient les années paires).
Il convient de noter que la République Centrafricaine dispose actuellement de près d'une dizaine d'agrégés dont le Chef de fil est le Professeur titulaire Gérard Grézengué qui vient d'être rejoint cette année au CCI de Libreville par deux nouveaux Professeurs titulaires dont l'ancien Recteur de l'Université de Bangui Gustave Bobossi.