Cette journée s’inscrit dans le cadre d’un programme d’accélération pour réaliser des objectifs mondiaux en matière d’élimination de la pandémie du sida d’ici 2030.
Le ministre Pierre Somsé a expliqué que la discrimination des personnes vivant avec le VIH n’est qu’une révélatrice de notre monde, du niveau auquel se trouvent nos valeurs.
Il a souligné que la lutte contre la discrimination doit interppeler tous les Centrafricains en ce sens qu’ils ne mettent pas en pratique les valeurs contenues dans leurs devises, notamment le respect de la dignité.
« Nous devons saisir cette opportunité pour réaliser cela au moment où nous sommes censés faire vivre l’accord qui vient d’être signé à Khartoum et qui marque une nouvelle ère à la fois politique, sociale et économique », a-t-il ajouté.
Il a indiqué que ce ne sont pas que des personnes vivant avec le VIH qui sont discriminées, il y a d’autres formes de discrimination qui se font sur la base de l’orientation sexuelle, religieuse, ethnique, politique et économique.
Cette journée interpelle particulièrement le secteur santé puisque les chiffres de la discrimination qui nous sont donnés indiquent que dans le milieu de la santé prévaut la discrimination et cela n’est pas normal, ce seul milieu devrait être le seul endroit où il ne devrait pas y avoir de discrimination, a-t-il souligné.
Selon lui, cette journée rejoint la grande campagne d’humanisme et de qualité que le chef de l’Etat a lancée dans le secteur de la santé pour promouvoir la solidarité et l’humanisme dans la lutte contre le sida et dans la santé, en général.
Wilfrid Sylvain Nambei, Coordonnateur du CNLS, a, pour sa part, soutenu qu’il existe beaucoup de pesanteurs socio-culturelles et religieuses et a personnellement appelé les leaders religieux, communautaires, voire civils à s’impliquer davantage dans la lutte contre la discrimination et la stigmatisation.
Il a noté que le défi en matière de traitement est énorme car au moins 54 000 patients doivent être mis sous le traitement aux ARV afin d’amorcer la courbe de réduction de l’infection au VIH.
Il convient de signaler que le gap est important car la stigmatisation et la discrimination constituent un fossé rendant difficile à atteindre l’objectif « vaincre le sida d’ici 2030 ».
Le ministre Pierre Somsé a expliqué que la discrimination des personnes vivant avec le VIH n’est qu’une révélatrice de notre monde, du niveau auquel se trouvent nos valeurs.
Il a souligné que la lutte contre la discrimination doit interppeler tous les Centrafricains en ce sens qu’ils ne mettent pas en pratique les valeurs contenues dans leurs devises, notamment le respect de la dignité.
« Nous devons saisir cette opportunité pour réaliser cela au moment où nous sommes censés faire vivre l’accord qui vient d’être signé à Khartoum et qui marque une nouvelle ère à la fois politique, sociale et économique », a-t-il ajouté.
Il a indiqué que ce ne sont pas que des personnes vivant avec le VIH qui sont discriminées, il y a d’autres formes de discrimination qui se font sur la base de l’orientation sexuelle, religieuse, ethnique, politique et économique.
Cette journée interpelle particulièrement le secteur santé puisque les chiffres de la discrimination qui nous sont donnés indiquent que dans le milieu de la santé prévaut la discrimination et cela n’est pas normal, ce seul milieu devrait être le seul endroit où il ne devrait pas y avoir de discrimination, a-t-il souligné.
Selon lui, cette journée rejoint la grande campagne d’humanisme et de qualité que le chef de l’Etat a lancée dans le secteur de la santé pour promouvoir la solidarité et l’humanisme dans la lutte contre le sida et dans la santé, en général.
Wilfrid Sylvain Nambei, Coordonnateur du CNLS, a, pour sa part, soutenu qu’il existe beaucoup de pesanteurs socio-culturelles et religieuses et a personnellement appelé les leaders religieux, communautaires, voire civils à s’impliquer davantage dans la lutte contre la discrimination et la stigmatisation.
Il a noté que le défi en matière de traitement est énorme car au moins 54 000 patients doivent être mis sous le traitement aux ARV afin d’amorcer la courbe de réduction de l’infection au VIH.
Il convient de signaler que le gap est important car la stigmatisation et la discrimination constituent un fossé rendant difficile à atteindre l’objectif « vaincre le sida d’ici 2030 ».