Selon le ministre délégué au commerce, chargé du guichet unique, M. Aurélien Simplice Zingas, cette structure qui vient de voir le jour a pour principale mission de simplifier les procédures de formalités de création, de modification et de cessation des activités des entreprises.
Le guichet unique a également pour tâche d’accueillir, d’informer et de conseiller les investisseurs désireux de s’installer en Centrafrique et d’appuyer la réalisation des filières et la mise en place de bases de données sur le secteur.
« L’objectif du guichet unique de formalités des entreprises en République Centrafricaine est de favoriser l’éclosion des nouvelles unités économiques sur l’ensemble du territoire national afin d’améliorer un développement plus intégré du secteur privé », a déclaré M. Zingas.
« Un pays sans secteur privé fort est un pays sans perspectives de développement véritable. Et sans un climat d’investissement sain, transparent et juridiquement stable, il n’y a pas d’attraction d’investissement », a-t-il relevé.
Selon M. Zingas, la création de cette structure est une réponse aux causes d’un grand malaise économique qui remontent à plus d’une dizaine d’années, caractérisées par les plaintes des opérateurs économiques, investisseurs nationaux et étrangers, désireux de s’implanter en République Centrafricaine.
« Ceux-ci sont confrontés à la fois aux multiples tracasseries administratives et au parcours du combattant, du fait de l’éparpillement des services impliqués dans la procédure de création d’entreprises ».
Pour lui, le guichet unique de formalités des entreprises va contribuer efficacement aux efforts d’assainissement de l’environnement des affaires pour la promotion du secteur privé.
« Le guichet unique de formalités des entreprise, comme expérimenté avec succès dans un certain nombre de pays africains, est un outil indispensable à l’allègement et à la simplification des formalités de création d’entreprise, gage d’un environnement économique attrayant et durable », a pour sa part déclaré le directeur pays du PNUD, M. Ibrahima Djibo.
Faisant référence à une étude réalisée par le PNUD en octobre 2002, il a expliqué que la procédure complète de création d’une entreprise passe par huit étapes situées dans autant de ministères tandis que les coûts exigibles pour la création d’une petite société à responsabilité limitée avoisinent 2 millions Fcfa, « Ce qui est très dissuasif pour les petits promoteurs ».
« La mission du guichet unique est de centraliser toutes les opérations nécessaires à la création ou à l’extension d’une entreprise dans le but d’obtenir un agrément dans un délai de sept jours », a-t-il indiqué.
Pour M. Ibrahima Djibo, l’initiative du guichet unique fortement appuyée par son institution, permet de faire la promotion du secteur privé pour la relance économique de la République Centrafricaine.
« Les petites et moyennes entreprises constituent un levier essentiel du développement, en ce sens que les effets d’entraînement sur le reste de l’économie en matière de création d’emplois, de valorisation des ressources naturelles locales, et de réduction de la pauvreté sont réels », a-t-il fait remarquer.
Il également indiqué que « la mise en œuvre des mesures visant à la création des petites et moyennes entreprises, en particulier, et la promotion d’un secteur privé dynamique , en général, deviennent aujourd’hui l’un des enjeux majeurs des politiques de développement en Centrafrique ».
Il convient de signaler qu’à la fin de cette cérémonie de lancement officiel du guichet unique de formalités de création d'entreprises en Centrafrique, M. Aurélien Simplice Zingas a donné une conférence de presse au cours de laquelle il a fait la différence entre le guichet unique de Douala et celui de Bangui.
Il a expliqué que le guichet unique de Douala est un avant-poste douanier placé sous l’autorité du ministère des Finances et du budget, tandis que celui de Bangui est placé sous la tutelle du ministère du Commerce, des petites et moyennes entreprises et a pour but de faciliter les conditions de création d'entreprise aux investisseurs.
Le Guichet unique de formalités des entreprises est composé de dix cadres délocalisés des différents départements ministériels impliqués dans les procédures administratives de création d’entreprise.
Le guichet unique a également pour tâche d’accueillir, d’informer et de conseiller les investisseurs désireux de s’installer en Centrafrique et d’appuyer la réalisation des filières et la mise en place de bases de données sur le secteur.
« L’objectif du guichet unique de formalités des entreprises en République Centrafricaine est de favoriser l’éclosion des nouvelles unités économiques sur l’ensemble du territoire national afin d’améliorer un développement plus intégré du secteur privé », a déclaré M. Zingas.
« Un pays sans secteur privé fort est un pays sans perspectives de développement véritable. Et sans un climat d’investissement sain, transparent et juridiquement stable, il n’y a pas d’attraction d’investissement », a-t-il relevé.
Selon M. Zingas, la création de cette structure est une réponse aux causes d’un grand malaise économique qui remontent à plus d’une dizaine d’années, caractérisées par les plaintes des opérateurs économiques, investisseurs nationaux et étrangers, désireux de s’implanter en République Centrafricaine.
« Ceux-ci sont confrontés à la fois aux multiples tracasseries administratives et au parcours du combattant, du fait de l’éparpillement des services impliqués dans la procédure de création d’entreprises ».
Pour lui, le guichet unique de formalités des entreprises va contribuer efficacement aux efforts d’assainissement de l’environnement des affaires pour la promotion du secteur privé.
« Le guichet unique de formalités des entreprise, comme expérimenté avec succès dans un certain nombre de pays africains, est un outil indispensable à l’allègement et à la simplification des formalités de création d’entreprise, gage d’un environnement économique attrayant et durable », a pour sa part déclaré le directeur pays du PNUD, M. Ibrahima Djibo.
Faisant référence à une étude réalisée par le PNUD en octobre 2002, il a expliqué que la procédure complète de création d’une entreprise passe par huit étapes situées dans autant de ministères tandis que les coûts exigibles pour la création d’une petite société à responsabilité limitée avoisinent 2 millions Fcfa, « Ce qui est très dissuasif pour les petits promoteurs ».
« La mission du guichet unique est de centraliser toutes les opérations nécessaires à la création ou à l’extension d’une entreprise dans le but d’obtenir un agrément dans un délai de sept jours », a-t-il indiqué.
Pour M. Ibrahima Djibo, l’initiative du guichet unique fortement appuyée par son institution, permet de faire la promotion du secteur privé pour la relance économique de la République Centrafricaine.
« Les petites et moyennes entreprises constituent un levier essentiel du développement, en ce sens que les effets d’entraînement sur le reste de l’économie en matière de création d’emplois, de valorisation des ressources naturelles locales, et de réduction de la pauvreté sont réels », a-t-il fait remarquer.
Il également indiqué que « la mise en œuvre des mesures visant à la création des petites et moyennes entreprises, en particulier, et la promotion d’un secteur privé dynamique , en général, deviennent aujourd’hui l’un des enjeux majeurs des politiques de développement en Centrafrique ».
Il convient de signaler qu’à la fin de cette cérémonie de lancement officiel du guichet unique de formalités de création d'entreprises en Centrafrique, M. Aurélien Simplice Zingas a donné une conférence de presse au cours de laquelle il a fait la différence entre le guichet unique de Douala et celui de Bangui.
Il a expliqué que le guichet unique de Douala est un avant-poste douanier placé sous l’autorité du ministère des Finances et du budget, tandis que celui de Bangui est placé sous la tutelle du ministère du Commerce, des petites et moyennes entreprises et a pour but de faciliter les conditions de création d'entreprise aux investisseurs.
Le Guichet unique de formalités des entreprises est composé de dix cadres délocalisés des différents départements ministériels impliqués dans les procédures administratives de création d’entreprise.