Organisé par le Ciongca avec le support technique et financier du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), cet atelier d’orientation de trois jours réunit une quarantaine de représentants des ONG nationales, qui seront édifiés entre autres sur le rôle des ONG sur la bonne gouvernance, la consolidation de la paix en République Centrafricaine, le changement climatique et la nécessité d’envisager l’amélioration des textes de base à partir des nouvelles lignes d’orientation du Ciongca.
M. Pouninguinza a déclaré que cet atelier d’orientation entre dans les préoccupations du gouvernement de renforcer les capacités des acteurs non étatiques en vue de remplir convenablement leur rôle dans le cadre de ce nouveau partenariat et de disposer d'expertises avérées pour contribuer au côté du gouvernement à la mise en œuvre du document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP).
Selon M. Gonda, pour porter la voix des ONG au niveau des instances nationales et internationales, il est nécessaire d’avoir une plate-forme qui assure sa fonction de plaidoyer, de vecteur d’influence dans les relations internationales.
Il a relevé que le Ciongca est un interlocuteur du gouvernement, mais aussi un espace d’articulation et de réflexion sur la forme des interventions des ONG, tout en précisant la responsabilité des ONG dans la gestion du patrimoine de l’Etat, afin de favoriser la participation des citoyens dans la vie publique et militer pour renforcer le pouvoir social de certains groupes défavorisés et pour le droit de la personne.
Il faut rappeler que dans les mois passés, le Ciongca avait organisé, au centre Bè oko, une réunion d’information sur « le fonds de consolidation de la paix en Centrafrique » à l’intention des représentants des ONG nationales, avec l’appui technique du PNUD.
M. Pouninguinza a déclaré que cet atelier d’orientation entre dans les préoccupations du gouvernement de renforcer les capacités des acteurs non étatiques en vue de remplir convenablement leur rôle dans le cadre de ce nouveau partenariat et de disposer d'expertises avérées pour contribuer au côté du gouvernement à la mise en œuvre du document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP).
Selon M. Gonda, pour porter la voix des ONG au niveau des instances nationales et internationales, il est nécessaire d’avoir une plate-forme qui assure sa fonction de plaidoyer, de vecteur d’influence dans les relations internationales.
Il a relevé que le Ciongca est un interlocuteur du gouvernement, mais aussi un espace d’articulation et de réflexion sur la forme des interventions des ONG, tout en précisant la responsabilité des ONG dans la gestion du patrimoine de l’Etat, afin de favoriser la participation des citoyens dans la vie publique et militer pour renforcer le pouvoir social de certains groupes défavorisés et pour le droit de la personne.
Il faut rappeler que dans les mois passés, le Ciongca avait organisé, au centre Bè oko, une réunion d’information sur « le fonds de consolidation de la paix en Centrafrique » à l’intention des représentants des ONG nationales, avec l’appui technique du PNUD.