L’état de dégradation anacée des routes, l’enclavement de Ndjoukou, l’absence de structures économiques, illustrent bien l’état de désolation de la ville de Ndjoukou, première localité côtière découverte par l’explorateur Maistre à la fin du XIXème siècle.
« Les populations nous ont fait remarquer que c’est même plus dangereux d’emprunter la voie fluviale au même titre que la voie terrestre, à cause des rapides et des multiples accidents qui s’y produisent, de sorte qu’elles sont obligés de vivre recluses, » a souligné, M. Abel Balénguélé.
Il a expliqué que, « la communauté internationale soutient les efforts de la consolidation de la paix, les efforts de développement de relance économique du gouvernement, soutient les initiatives du gouvernement allant dans le sens de la réduction de la pauvreté ».
« Si le gouvernement dans, le cadre des actions qu’il mène, prenait des initiatives vis-à-vis de Ndjoukou, la Communauté internationale ne restera pas insensible, » a-t-il précisé.
« Tout ce que Bonuca peut faire, a-t-il conclu, c’est d’orienter les doléances des populations vers les centres de décisions indiqués pour ce type d’action ».
Le Maire de Ndjoukou, Patrick Fanny a pour sa part expliqué que sa population vit de l’agriculture, car les conditions bioclimatiques sont favorables à toutes les culture, et ont un fort intérêt pour l’agriculture, la pêche, la chasse, la cueillette, l’artisanat et l’apiculture traditionnelle.
Mais « malgré ses énormes potentialités, la sous préfecture de Ndjoukou est abandonnée par les autorités politico administratives » a déploré M. Patrick Fanny
Signalons que la Ndoukou a été la dernière ville de la préfecture de la Kémo qui a connu cette mission conjointe de sensibilisation pour un retour aux valeurs citoyennes.
« Les populations nous ont fait remarquer que c’est même plus dangereux d’emprunter la voie fluviale au même titre que la voie terrestre, à cause des rapides et des multiples accidents qui s’y produisent, de sorte qu’elles sont obligés de vivre recluses, » a souligné, M. Abel Balénguélé.
Il a expliqué que, « la communauté internationale soutient les efforts de la consolidation de la paix, les efforts de développement de relance économique du gouvernement, soutient les initiatives du gouvernement allant dans le sens de la réduction de la pauvreté ».
« Si le gouvernement dans, le cadre des actions qu’il mène, prenait des initiatives vis-à-vis de Ndjoukou, la Communauté internationale ne restera pas insensible, » a-t-il précisé.
« Tout ce que Bonuca peut faire, a-t-il conclu, c’est d’orienter les doléances des populations vers les centres de décisions indiqués pour ce type d’action ».
Le Maire de Ndjoukou, Patrick Fanny a pour sa part expliqué que sa population vit de l’agriculture, car les conditions bioclimatiques sont favorables à toutes les culture, et ont un fort intérêt pour l’agriculture, la pêche, la chasse, la cueillette, l’artisanat et l’apiculture traditionnelle.
Mais « malgré ses énormes potentialités, la sous préfecture de Ndjoukou est abandonnée par les autorités politico administratives » a déploré M. Patrick Fanny
Signalons que la Ndoukou a été la dernière ville de la préfecture de la Kémo qui a connu cette mission conjointe de sensibilisation pour un retour aux valeurs citoyennes.