Le Préfet Marcel Guela a indiqué que la situation sécuritaire est calme à Bossangoa (305 km au nord de Bangui), tandis qu’il y a des cas de banditisme à Batangafo, Markounda et Kabo.
S’agissant de la persistance de l’insécurité dans les zones minières, il a relevé que le nombre insuffisant des éléments des forces de défense et de sécurité ne permet pas d'y faire régner l’ordre.
Il a aussi évoqué le fait que la force de la MINUSCA, voire le personnel civil de la mission onusienne n’a pas accès à ces zones, même pour le rétablissement de la sécurité.
Le chef de bureau de la MINUSCA de Bossangoa, Alain Sitchet, a de son coté reconnu que grâce aux patrouilles régulières des forces, de multiples accords locaux de paix et la sensibilisation de la population sur le bien-fondé de l’accord politique de paix et de réconciliation, la situation sécuritaire dans cette partie de la RCA est calme.
Il a également noté que la MINUSCA et les autorités locales de l’Ouham ont formellement interdit à un groupe armé non reconnu par le gouvernement de s’installer dans la ville de Kabo.
Le porte-parole de la MINUSCA, M. Vladimir Monteiro, a quant à lui salué la promulgation par le Président Faustin-Archange Touadéra du code électoral qui, selon lui, constitue un pas important dans les préparatifs des élections inclusives et apaisées.
Sur les abus et violations des droits de l’homme, il a souligné que la division Droits de l’Homme de la MINUSCA a dénombré 28 cas ayant affecté 53 victimes.
Interrogé sur la démission du conseiller militaire, Alkatim Ahamat Mahamat, M. Monteiro a fait savoir que ce qui est important c’est que le groupe armé Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) reste encore dans l’accord politique pour la paix et la réconciliation du 6 février 2019.
« Pour preuve, leurs délégués ont pris part à Bangui du 23 au 24 août dernier à la réunion d’évaluation dudit accord de paix », a-t-il poursuivi.
S’agissant de la persistance de l’insécurité dans les zones minières, il a relevé que le nombre insuffisant des éléments des forces de défense et de sécurité ne permet pas d'y faire régner l’ordre.
Il a aussi évoqué le fait que la force de la MINUSCA, voire le personnel civil de la mission onusienne n’a pas accès à ces zones, même pour le rétablissement de la sécurité.
Le chef de bureau de la MINUSCA de Bossangoa, Alain Sitchet, a de son coté reconnu que grâce aux patrouilles régulières des forces, de multiples accords locaux de paix et la sensibilisation de la population sur le bien-fondé de l’accord politique de paix et de réconciliation, la situation sécuritaire dans cette partie de la RCA est calme.
Il a également noté que la MINUSCA et les autorités locales de l’Ouham ont formellement interdit à un groupe armé non reconnu par le gouvernement de s’installer dans la ville de Kabo.
Le porte-parole de la MINUSCA, M. Vladimir Monteiro, a quant à lui salué la promulgation par le Président Faustin-Archange Touadéra du code électoral qui, selon lui, constitue un pas important dans les préparatifs des élections inclusives et apaisées.
Sur les abus et violations des droits de l’homme, il a souligné que la division Droits de l’Homme de la MINUSCA a dénombré 28 cas ayant affecté 53 victimes.
Interrogé sur la démission du conseiller militaire, Alkatim Ahamat Mahamat, M. Monteiro a fait savoir que ce qui est important c’est que le groupe armé Mouvement patriotique pour la Centrafrique (MPC) reste encore dans l’accord politique pour la paix et la réconciliation du 6 février 2019.
« Pour preuve, leurs délégués ont pris part à Bangui du 23 au 24 août dernier à la réunion d’évaluation dudit accord de paix », a-t-il poursuivi.