POLITIQUE
L’objectif de ce communiqué de presse est de porter à la connaissance de l’opinion les résultats d’une récente évaluation de la sécurité alimentaire en situation d’urgence menée par ladite institution et ses partenaires, d’alerter l’opinion sur les effets pervers du conflit qui a dramatiquement détérioré les seuils de la sécurité alimentaire et a doublé en un an le nombre des personnes souffrant de la faim.
« Trois années de crises ont conduit les familles à épuiser graduellement toutes leurs ressources alors que l’insécurité et les déplacements perdurent. Les familles ont été forcées, si souvent, de vendre ce qu’ils possèdent, retirer leurs enfants de l’école et même recourir à la mendicité, qu’elles ont épuisé toutes ressources. Les gens se retrouvent sans rien ». a déclaré M. Guy Adoua, Directeur Adjoint du Bureau pays du PAM en RCA.
Le PAM est extrêmement préoccupé par ces niveaux alarment de faim. Non seulement les gens n’ont pas suffisamment de nourriture pour manger, mais ils sont obligés de consommer de la nourriture à bas prix et à faible teneur en éléments nutritifs, a-t-on noté.
Le rapport montre que la révolte de 2014-2015 était maigre et que les prix des denrées alimentaires restent élèves. Les agriculteurs n’oint été capables de cultiver leurs champs ou ont été obligés de fuir leurs maisons et d’abandonner leurs champs et leurs moyens de subsistance, a-t-on affirmé.
Notons qu’un montant de quarante millions de dollars est nécessaire pour que le PAM puisse répondre aux besoins urgents et fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle aux personnes déplacées et aux communautés vulnérables, ainsi que pour soutenir les efforts de la population à se reconstruire.
« Trois années de crises ont conduit les familles à épuiser graduellement toutes leurs ressources alors que l’insécurité et les déplacements perdurent. Les familles ont été forcées, si souvent, de vendre ce qu’ils possèdent, retirer leurs enfants de l’école et même recourir à la mendicité, qu’elles ont épuisé toutes ressources. Les gens se retrouvent sans rien ». a déclaré M. Guy Adoua, Directeur Adjoint du Bureau pays du PAM en RCA.
Le PAM est extrêmement préoccupé par ces niveaux alarment de faim. Non seulement les gens n’ont pas suffisamment de nourriture pour manger, mais ils sont obligés de consommer de la nourriture à bas prix et à faible teneur en éléments nutritifs, a-t-on noté.
Le rapport montre que la révolte de 2014-2015 était maigre et que les prix des denrées alimentaires restent élèves. Les agriculteurs n’oint été capables de cultiver leurs champs ou ont été obligés de fuir leurs maisons et d’abandonner leurs champs et leurs moyens de subsistance, a-t-on affirmé.
Notons qu’un montant de quarante millions de dollars est nécessaire pour que le PAM puisse répondre aux besoins urgents et fournir une assistance alimentaire et nutritionnelle aux personnes déplacées et aux communautés vulnérables, ainsi que pour soutenir les efforts de la population à se reconstruire.
