POLITIQUE
L’objectif de cette interpellation de la population est de dénoncer la perpétuation de l’exploitation illégale du bois, notamment dans la périphérie de Bangui.
« Désormais, nos gardes forestiers, renforcés par gendarmes, des militaires et des forces internationales de la MINUSCA, vont traquer ces opérateurs jusque sur les sites d’exploitation illégales du bois, dans les forêts », a prévenu Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille.
Le bilan de cette première opération comprend plusieurs planches et chevrons sciés ainsi que des scies mobiles qui ont été saisies. Plusieurs tonnes de ces bois sont encore stockées sur les sites d’exploitation.
Quand bien même il s’agit d’exploitation illégale, savamment entretenue par des opérateurs étrangers, le membre du gouvernement s’est étonnée de ce que la population de Ndagala a été manipulée, de façon à barrer la route à une action gouvernementale.
« C’est pour éviter les effets collatéraux et les conséquences dommageables sur la population que la mission de deux jours a été écourtée », a indiqué Mme Gaudeuille.
« Quelques éléments des Eaux et Forêts sont complices de la trahison de l’opération, ainsi que de hauts dignitaires qui sont impliqués dans le réseau », a signalé la Ministre des Eaux et Forêts qui préconise déjà des sanctions exemplaires à l’endroit des auteurs et coauteurs de cette exploitation illégale.
Ce n’est pas la première fois que des cargaisons de bois sciés sont interceptés dans les Permis d’Exploitation et d’Aménagement (PEA) qui sont autour de Bangui. Pour décourager les opérateurs illégaux, la Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche a institué deux brigades de contrôle, la première contrôle la sortie sud et le second est basée au Bureau d’Affrètement Routier (BARC), d’où partent les cargaisons en convoi vers le port de Douala au Cameroun.
En vue de remettre de l’ordre dans le secteur de l’exploitation du bois en République Centrafricaine, Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille, en sa qualité de Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, avait pourtant donné des instructions pour que ceux qui s’intéressent au secteur se mettent en règle. Seulement, son appel n’a point été entendu.
L’objectif de cette interpellation de la population est de dénoncer la perpétuation de l’exploitation illégale du bois, notamment dans la périphérie de Bangui.
« Désormais, nos gardes forestiers, renforcés par gendarmes, des militaires et des forces internationales de la MINUSCA, vont traquer ces opérateurs jusque sur les sites d’exploitation illégales du bois, dans les forêts », a prévenu Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille.
Le bilan de cette première opération comprend plusieurs planches et chevrons sciés ainsi que des scies mobiles qui ont été saisies. Plusieurs tonnes de ces bois sont encore stockées sur les sites d’exploitation.
Quand bien même il s’agit d’exploitation illégale, savamment entretenue par des opérateurs étrangers, le membre du gouvernement s’est étonnée de ce que la population de Ndagala a été manipulée, de façon à barrer la route à une action gouvernementale.
« C’est pour éviter les effets collatéraux et les conséquences dommageables sur la population que la mission de deux jours a été écourtée », a indiqué Mme Gaudeuille.
« Quelques éléments des Eaux et Forêts sont complices de la trahison de l’opération, ainsi que de hauts dignitaires qui sont impliqués dans le réseau », a signalé la Ministre des Eaux et Forêts qui préconise déjà des sanctions exemplaires à l’endroit des auteurs et coauteurs de cette exploitation illégale.
Ce n’est pas la première fois que des cargaisons de bois sciés sont interceptés dans les Permis d’Exploitation et d’Aménagement (PEA) qui sont autour de Bangui. Pour décourager les opérateurs illégaux, la Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche a institué deux brigades de contrôle, la première contrôle la sortie sud et le second est basée au Bureau d’Affrètement Routier (BARC), d’où partent les cargaisons en convoi vers le port de Douala au Cameroun.
En vue de remettre de l’ordre dans le secteur de l’exploitation du bois en République Centrafricaine, Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille, en sa qualité de Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, avait pourtant donné des instructions pour que ceux qui s’intéressent au secteur se mettent en règle. Seulement, son appel n’a point été entendu.
« Désormais, nos gardes forestiers, renforcés par gendarmes, des militaires et des forces internationales de la MINUSCA, vont traquer ces opérateurs jusque sur les sites d’exploitation illégales du bois, dans les forêts », a prévenu Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille.
Le bilan de cette première opération comprend plusieurs planches et chevrons sciés ainsi que des scies mobiles qui ont été saisies. Plusieurs tonnes de ces bois sont encore stockées sur les sites d’exploitation.
Quand bien même il s’agit d’exploitation illégale, savamment entretenue par des opérateurs étrangers, le membre du gouvernement s’est étonnée de ce que la population de Ndagala a été manipulée, de façon à barrer la route à une action gouvernementale.
« C’est pour éviter les effets collatéraux et les conséquences dommageables sur la population que la mission de deux jours a été écourtée », a indiqué Mme Gaudeuille.
« Quelques éléments des Eaux et Forêts sont complices de la trahison de l’opération, ainsi que de hauts dignitaires qui sont impliqués dans le réseau », a signalé la Ministre des Eaux et Forêts qui préconise déjà des sanctions exemplaires à l’endroit des auteurs et coauteurs de cette exploitation illégale.
Ce n’est pas la première fois que des cargaisons de bois sciés sont interceptés dans les Permis d’Exploitation et d’Aménagement (PEA) qui sont autour de Bangui. Pour décourager les opérateurs illégaux, la Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche a institué deux brigades de contrôle, la première contrôle la sortie sud et le second est basée au Bureau d’Affrètement Routier (BARC), d’où partent les cargaisons en convoi vers le port de Douala au Cameroun.
En vue de remettre de l’ordre dans le secteur de l’exploitation du bois en République Centrafricaine, Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille, en sa qualité de Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, avait pourtant donné des instructions pour que ceux qui s’intéressent au secteur se mettent en règle. Seulement, son appel n’a point été entendu.
L’objectif de cette interpellation de la population est de dénoncer la perpétuation de l’exploitation illégale du bois, notamment dans la périphérie de Bangui.
« Désormais, nos gardes forestiers, renforcés par gendarmes, des militaires et des forces internationales de la MINUSCA, vont traquer ces opérateurs jusque sur les sites d’exploitation illégales du bois, dans les forêts », a prévenu Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille.
Le bilan de cette première opération comprend plusieurs planches et chevrons sciés ainsi que des scies mobiles qui ont été saisies. Plusieurs tonnes de ces bois sont encore stockées sur les sites d’exploitation.
Quand bien même il s’agit d’exploitation illégale, savamment entretenue par des opérateurs étrangers, le membre du gouvernement s’est étonnée de ce que la population de Ndagala a été manipulée, de façon à barrer la route à une action gouvernementale.
« C’est pour éviter les effets collatéraux et les conséquences dommageables sur la population que la mission de deux jours a été écourtée », a indiqué Mme Gaudeuille.
« Quelques éléments des Eaux et Forêts sont complices de la trahison de l’opération, ainsi que de hauts dignitaires qui sont impliqués dans le réseau », a signalé la Ministre des Eaux et Forêts qui préconise déjà des sanctions exemplaires à l’endroit des auteurs et coauteurs de cette exploitation illégale.
Ce n’est pas la première fois que des cargaisons de bois sciés sont interceptés dans les Permis d’Exploitation et d’Aménagement (PEA) qui sont autour de Bangui. Pour décourager les opérateurs illégaux, la Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche a institué deux brigades de contrôle, la première contrôle la sortie sud et le second est basée au Bureau d’Affrètement Routier (BARC), d’où partent les cargaisons en convoi vers le port de Douala au Cameroun.
En vue de remettre de l’ordre dans le secteur de l’exploitation du bois en République Centrafricaine, Mme Charlotte Isabelle Gaudeuille, en sa qualité de Ministre des Eaux, Forêts, Chasse et Pêche, avait pourtant donné des instructions pour que ceux qui s’intéressent au secteur se mettent en règle. Seulement, son appel n’a point été entendu.
