Mlle Aline Gisèle Pana présentant sa communication (Ph. Yaka Maïde/Acap
Selon Mme Angèle Ndoundou Kinouani chef de la section Droits de l’Homme du Bonuca, l’objectif poursuivi est de parvenir à la création d’un conseil de jeunesse qui permettrait aux jeunes de reconnaître et de renforcer leurs droits et finalement participer au processus de prise de décision.
Elle a expliqué que son institution attend de la jeunesse « sa contribution dans la lutte contre la pauvreté et entend mettre à sa disposition les informations et mécanismes mis en place par les Nations Unies pour y parvenir ».
Cette préoccupation du Bonuca s’inscrit en droite de la déclaration faite à l’occasion de la journée internationale de la Jeunesse par le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, pour qui « les jeunes constituent des ressources humaines de première importance pour le développement et peuvent être des acteurs clés de l’innovation et du progrès social ».
Selon M. Annan, l’action à mener est d’ « accorder une plus grande attention à l’éducation et à la transition entre les études et la vie active »afin d’échapper à la « juvénilisation de la pauvreté ».
Intervenant sur les actions menées par les Nations Unies en matière de jeunesse M. Sangaré de la section Droits de l’Homme du Bonuca, a fait remarquer que pour réduire la pauvreté, il faut accroître la connaissance des jeunes et créer l’emploi.
Il a signalé que c’est la vision principale du Secrétaire général des Nations Unies en créant en 2000 au Conseil des Nations Unies le réseau pour l’emploi des jeunes. Il a également fait remarquer que le Programme d’Action Mondiale pour la Jeunesse (PAMJ) de 2000 est un organe qui prône une lutte collective contre la pauvreté.
Pour le magistrat Alain Tolmo, Doyen des juges d’instruction au Tribunal de grande instance de Bangui, pour lutter contre la pauvreté, la jeunesse centrafricaine a intérêt à faire preuve de discipline dans sa vie quotidienne, s’astreignant à cultiver la paix, la tolérance, le dialogue, l’unité, le respect de l’environnement et des ressources naturelles et à rechercher la qualité et la compétence.
Le conseiller en matière de jeunesse auprès du premier ministre, M. Patrick Nambéaré, a pour sa part reconnu la part de responsabilité de l’Etat dans le processus d’insertion des jeunes.
Toutefois, a-t-il souligné, « la jeunesse n’a pas seulement des Droits, mais elle a aussi des obligations ».
Il a souhaité la mise en place d’une charte de jeunesse tout en déplorant la passivité des jeunes centrafricains qui manquent d’initiatives et de politique d’auto emploi.
Mlle Aline Gisèle Pana qui a présenté un exposé sur le thème « Jeunes et lutte contre la pauvreté » a expliqué que « la jeunesse centrafricaine traverse une crise caractérisée par la pauvreté, le chômage, la prostitution, l’ignorance, l’analphabétisme, les maladies et l’exode rural ».
Pour surmonter ces difficultés, a-t-elle fait observer, il faut mobiliser les jeunes au sein des mouvements de jeunesse, aider les jeunes à se prendre en charge à travers l’organisation des actions de sensibilisation et d’information des jeunes sur leur implication dans tous le processus de développement.
Mlle Pana a proposé que les jeunes se mobilisent eux-mêmes pour lutter afin d’attirer l’attention des autorités politiques et surtout développer la coopération avec les institutions internationales oeuvrant en faveur de la promotion et du développement de l’être humain telles que le Pnud, l’Unicef,l’Unfpa, le Pnue et le Bonuca.
Elle a expliqué que son institution attend de la jeunesse « sa contribution dans la lutte contre la pauvreté et entend mettre à sa disposition les informations et mécanismes mis en place par les Nations Unies pour y parvenir ».
Cette préoccupation du Bonuca s’inscrit en droite de la déclaration faite à l’occasion de la journée internationale de la Jeunesse par le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, pour qui « les jeunes constituent des ressources humaines de première importance pour le développement et peuvent être des acteurs clés de l’innovation et du progrès social ».
Selon M. Annan, l’action à mener est d’ « accorder une plus grande attention à l’éducation et à la transition entre les études et la vie active »afin d’échapper à la « juvénilisation de la pauvreté ».
Intervenant sur les actions menées par les Nations Unies en matière de jeunesse M. Sangaré de la section Droits de l’Homme du Bonuca, a fait remarquer que pour réduire la pauvreté, il faut accroître la connaissance des jeunes et créer l’emploi.
Il a signalé que c’est la vision principale du Secrétaire général des Nations Unies en créant en 2000 au Conseil des Nations Unies le réseau pour l’emploi des jeunes. Il a également fait remarquer que le Programme d’Action Mondiale pour la Jeunesse (PAMJ) de 2000 est un organe qui prône une lutte collective contre la pauvreté.
Pour le magistrat Alain Tolmo, Doyen des juges d’instruction au Tribunal de grande instance de Bangui, pour lutter contre la pauvreté, la jeunesse centrafricaine a intérêt à faire preuve de discipline dans sa vie quotidienne, s’astreignant à cultiver la paix, la tolérance, le dialogue, l’unité, le respect de l’environnement et des ressources naturelles et à rechercher la qualité et la compétence.
Le conseiller en matière de jeunesse auprès du premier ministre, M. Patrick Nambéaré, a pour sa part reconnu la part de responsabilité de l’Etat dans le processus d’insertion des jeunes.
Toutefois, a-t-il souligné, « la jeunesse n’a pas seulement des Droits, mais elle a aussi des obligations ».
Il a souhaité la mise en place d’une charte de jeunesse tout en déplorant la passivité des jeunes centrafricains qui manquent d’initiatives et de politique d’auto emploi.
Mlle Aline Gisèle Pana qui a présenté un exposé sur le thème « Jeunes et lutte contre la pauvreté » a expliqué que « la jeunesse centrafricaine traverse une crise caractérisée par la pauvreté, le chômage, la prostitution, l’ignorance, l’analphabétisme, les maladies et l’exode rural ».
Pour surmonter ces difficultés, a-t-elle fait observer, il faut mobiliser les jeunes au sein des mouvements de jeunesse, aider les jeunes à se prendre en charge à travers l’organisation des actions de sensibilisation et d’information des jeunes sur leur implication dans tous le processus de développement.
Mlle Pana a proposé que les jeunes se mobilisent eux-mêmes pour lutter afin d’attirer l’attention des autorités politiques et surtout développer la coopération avec les institutions internationales oeuvrant en faveur de la promotion et du développement de l’être humain telles que le Pnud, l’Unicef,l’Unfpa, le Pnue et le Bonuca.