L’objet de cette rencontre avec les professionnels des médias est de sensibiliser et d’informer la population centrafricaine sur l’évolution des prix en détail et en gros des produits sur les marchés de Bangui et ses environs.
Selon Bienvenu-Blaise Ali, les tendances inflationnistes sur les prix des produits alimentaires observés dans la semaine du 11 au 16 mai dernier après la fermeture partielle des frontières, ont connu une baisse pendant les cinq dernières semaines.
« Excepté le riz importé, la farine de blé, les produits congelés dont les prix ont baissé pour atteindre leur niveau avant la fermeture des frontières, tandis que les prix de l’huile végétale, de l’huile de palme, le lait en poudre, le sucre, les conserves enregistrent des hausses allant de 2% 0 11% », a précisé Bienvenu-Blaise Ali.
Pour le Directeur général de l’ICASES, la soudure de l’insécurité et les problèmes de transport continuent à pousser à la hausse les prix des produits locaux entre autres la courge, le savon, l’arachide, la viande de bœuf et le manioc.
«Même si les prix domestiques restent relativement maitrisés, malgré une dynamique du trafic assez discontinue, l’urgence, est de faciliter le trafic des marchandises aux frontières ; il doit rester une priorité majeure, car le risque d’une inflation importée n’est pas à exclure », a-t-il souhaité.
Notons que la direction générale de l’ICASES est appuyée dans ces études par la douane centrafricaine et la Banque mondiale.
Selon Bienvenu-Blaise Ali, les tendances inflationnistes sur les prix des produits alimentaires observés dans la semaine du 11 au 16 mai dernier après la fermeture partielle des frontières, ont connu une baisse pendant les cinq dernières semaines.
« Excepté le riz importé, la farine de blé, les produits congelés dont les prix ont baissé pour atteindre leur niveau avant la fermeture des frontières, tandis que les prix de l’huile végétale, de l’huile de palme, le lait en poudre, le sucre, les conserves enregistrent des hausses allant de 2% 0 11% », a précisé Bienvenu-Blaise Ali.
Pour le Directeur général de l’ICASES, la soudure de l’insécurité et les problèmes de transport continuent à pousser à la hausse les prix des produits locaux entre autres la courge, le savon, l’arachide, la viande de bœuf et le manioc.
«Même si les prix domestiques restent relativement maitrisés, malgré une dynamique du trafic assez discontinue, l’urgence, est de faciliter le trafic des marchandises aux frontières ; il doit rester une priorité majeure, car le risque d’une inflation importée n’est pas à exclure », a-t-il souhaité.
Notons que la direction générale de l’ICASES est appuyée dans ces études par la douane centrafricaine et la Banque mondiale.