Le Préfet Jude Ngayoko a expliqué que si le gouvernement pouvait construire une nouvelle route entre Bambouti et Obo, ce serait une bonne chose pour le développement de sa circonscription.
Il a fait savoir que le projet Londo a seulement entretenu des routes qui partent d’Obo jusqu’à 5 kilomètres et pas plus. Alors que la route principale qui va jusqu’à Bangassou (616 Km) reste impraticable, car les véhicules qui empruntent cette route mettent 4 à 5 mois pour arriver à destination.
Selon lui, les mauvais états des routes constituent l’une des principales raisons du coût très élevé des marchandises à Obo, Zémio, Djéma, et Mboki à l’exception de Bambouti qui fait frontière avec le Sud Soudan et qui est ravitaillé de ce côté par des produits de premières nécessités.
« Outre les problèmes de routes, il y a aussi la question de l’insécurité dû à la présence des éléments de l’UPC qui viennent racketter la population et les éleveurs peuls en volant leurs bœufs au cas où ces derniers ne versent les rançons exigées », a-t-il poursuivi.
Pour le lieutenant Alexis Nzapa Ahon Yoro et le commandant Abdelsadim Sbay, à cause du mauvais état des routes, leurs troupes ne peuvent pas faire des patrouilles au-delà de 5 kilomètres d’Obo.
Signalons que l’escorte des véhicules des humanitaires met 2 à 3 mois pour parcourir la distance entre Zémio et Obo (500 Km).
Il a fait savoir que le projet Londo a seulement entretenu des routes qui partent d’Obo jusqu’à 5 kilomètres et pas plus. Alors que la route principale qui va jusqu’à Bangassou (616 Km) reste impraticable, car les véhicules qui empruntent cette route mettent 4 à 5 mois pour arriver à destination.
Selon lui, les mauvais états des routes constituent l’une des principales raisons du coût très élevé des marchandises à Obo, Zémio, Djéma, et Mboki à l’exception de Bambouti qui fait frontière avec le Sud Soudan et qui est ravitaillé de ce côté par des produits de premières nécessités.
« Outre les problèmes de routes, il y a aussi la question de l’insécurité dû à la présence des éléments de l’UPC qui viennent racketter la population et les éleveurs peuls en volant leurs bœufs au cas où ces derniers ne versent les rançons exigées », a-t-il poursuivi.
Pour le lieutenant Alexis Nzapa Ahon Yoro et le commandant Abdelsadim Sbay, à cause du mauvais état des routes, leurs troupes ne peuvent pas faire des patrouilles au-delà de 5 kilomètres d’Obo.
Signalons que l’escorte des véhicules des humanitaires met 2 à 3 mois pour parcourir la distance entre Zémio et Obo (500 Km).