POLITIQUE
Le ministre Richard Gouandja a expliqué que « notre pays qui est partie prenante de la Convention de Genève de 1951 relative aux Statuts des réfugiés et à la Convention de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA) de 1969 relatifs aux problèmes spécifiques des réfugiés en Afrique à renforcer son arsenal juridique en adoptant depuis 2007, la loi portant Statut des réfugiés en République Centrafricaine ».
La représentante du Haut Commissariat chargé des Réfugiés, Aminata Guéye a indiqué qu’en République Centrafricaine, quelques 20 000 hommes, femmes et enfants ont dû fuir leur pays pour trouver refuge à Zemio, Obo, Mboki, Batalimo, Bambari et Bangui.
En discutant avec les réfugiés, a-t-elle déclaré « nous avons pu identifier trois problèmes majeurs auxquels ils font face au quotidien ». Selon elle, « il s’agit des difficultés qu’ont beaucoup de familles à supporter les frais de scolarisation de leurs enfants, les difficultés à se loger et les difficultés à accéder à un emploi rémunéré ».
« Je crois fermement que chacun de nous peut faire quelque chose pour redonner espoir à ces réfugiés. Il s’agit d’un don, d’une prise en charge des frais de scolarité, des fournitures scolaires, des frais de soutenance de leur mémoire, de la réduction du coût d’un loyer à la mise à disposition d’une maison, d’une parcelle ou d’une chambre, ou alors d’une simple compassion. Tendons la main aux réfugiés, ouvrons leur nos cœurs », a fait observer Aminata Gueye.
Il convient de noter que la Journée Mondiale du Réfugié qui s’inscrit dans le cadre de cet effort commun a été célébrée sur le thème : « Je suis une personne engagée ».
La représentante du Haut Commissariat chargé des Réfugiés, Aminata Guéye a indiqué qu’en République Centrafricaine, quelques 20 000 hommes, femmes et enfants ont dû fuir leur pays pour trouver refuge à Zemio, Obo, Mboki, Batalimo, Bambari et Bangui.
En discutant avec les réfugiés, a-t-elle déclaré « nous avons pu identifier trois problèmes majeurs auxquels ils font face au quotidien ». Selon elle, « il s’agit des difficultés qu’ont beaucoup de familles à supporter les frais de scolarisation de leurs enfants, les difficultés à se loger et les difficultés à accéder à un emploi rémunéré ».
« Je crois fermement que chacun de nous peut faire quelque chose pour redonner espoir à ces réfugiés. Il s’agit d’un don, d’une prise en charge des frais de scolarité, des fournitures scolaires, des frais de soutenance de leur mémoire, de la réduction du coût d’un loyer à la mise à disposition d’une maison, d’une parcelle ou d’une chambre, ou alors d’une simple compassion. Tendons la main aux réfugiés, ouvrons leur nos cœurs », a fait observer Aminata Gueye.
Il convient de noter que la Journée Mondiale du Réfugié qui s’inscrit dans le cadre de cet effort commun a été célébrée sur le thème : « Je suis une personne engagée ».
