Le général Gambi et Antoine Joyandet lors de l'échange des documents (photo D. Koutou/Acap)
Le Général Gambi a déclaré que la signature de ce nouvel accord de partenariat en matière de défense participe "de notre volonté commune de consolider les acquis d’une coopération à la fois ancienne et mutuellement avantageuse tout en élargissant celle-ci aux dimensions de plus en plus régionales, aux questions de sécurité collective irriguées par les conflits de nature et de caractère enchevêtrés qui secouent l’Afrique en générale et l’Afrique Centrale en particulier.
"Le gouvernement entend renforcer davantage les relations déjà si importante avec la France et exprime le vœux que l’appui du gouvernement français au côté du peuple centrafricain soit de plus en plus multiples et diversifiés en vue de poursuivre les efforts de consolidation de la paix et du redressement économique favorisant la réduction de la pauvreté, gage d’une stabilité interne et sous régionale", a-t-il précisé.
Il a rappelé que depuis 2005, le retour à la légalité constitutionnelle a permis au gouvernement centrafricain d’engager sur la scène internationale, une diplomatie active et de renouer avec plusieurs partenaires au développement.
"C'est un moment historique!", a lancé M. Joyandet, qui s’est dit "heureux que tout cela fasse suite au fond aux engagements qui ont été pris par le Président français, Nicolas Sarkozy au Cap, en Afrique du sud, à l’occasion duquel une nouvelle voie a été tracée autour du partenariat stratégique, autrement dit, « gagnant-gagnant ».
"S’agissant de la sécurité, nous souhaitons continuer à vos côtés, essentiellement à la question qui touche à la formation dont l’objectif est de faire en sorte que les Etats africains, l’Union Africaine, puissent prendre en main toutes les questions qui touchent à la sécurité du continent africain et de ses Etats", a déclaré le secrétaire d’Etat, français.
« Il s’agit d’un texte qui sera public. Il n’y a plus d’accord secret entre les Etats ou certains Etats africains et la France », a-t-fait remarquer, par ailleurs.
M. Alain Joyandet, qui quitte Bangui vendredi est accompagné dans sa visite de travail par son conseiller Gérard Collange et le responsable pour le Tchad et la République Centrafricaine au Quai d'Orsay, M. Vincent Alexandre.
"Le gouvernement entend renforcer davantage les relations déjà si importante avec la France et exprime le vœux que l’appui du gouvernement français au côté du peuple centrafricain soit de plus en plus multiples et diversifiés en vue de poursuivre les efforts de consolidation de la paix et du redressement économique favorisant la réduction de la pauvreté, gage d’une stabilité interne et sous régionale", a-t-il précisé.
Il a rappelé que depuis 2005, le retour à la légalité constitutionnelle a permis au gouvernement centrafricain d’engager sur la scène internationale, une diplomatie active et de renouer avec plusieurs partenaires au développement.
"C'est un moment historique!", a lancé M. Joyandet, qui s’est dit "heureux que tout cela fasse suite au fond aux engagements qui ont été pris par le Président français, Nicolas Sarkozy au Cap, en Afrique du sud, à l’occasion duquel une nouvelle voie a été tracée autour du partenariat stratégique, autrement dit, « gagnant-gagnant ».
"S’agissant de la sécurité, nous souhaitons continuer à vos côtés, essentiellement à la question qui touche à la formation dont l’objectif est de faire en sorte que les Etats africains, l’Union Africaine, puissent prendre en main toutes les questions qui touchent à la sécurité du continent africain et de ses Etats", a déclaré le secrétaire d’Etat, français.
« Il s’agit d’un texte qui sera public. Il n’y a plus d’accord secret entre les Etats ou certains Etats africains et la France », a-t-fait remarquer, par ailleurs.
M. Alain Joyandet, qui quitte Bangui vendredi est accompagné dans sa visite de travail par son conseiller Gérard Collange et le responsable pour le Tchad et la République Centrafricaine au Quai d'Orsay, M. Vincent Alexandre.