L’enjeu de cet atelier est de réactualiser la carte de la sécurité alimentaire après les crises militaro politiques qu’a connues la République Centrafricaine.
Selon elle, cette analyse a démontré qu’il n’y a pas de libre circulation des biens et des personnes dans les villes conquises par séléka, entrainant la flambée des prix et la rareté de certaines denrées alimentaires.
« La République Centrafricaine est un grenier de production aussi bien animale que végétale du point de vue de potentialité, cependant il se pose un problème d’organisation », a-t-elle affirmé.
Organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation, cet atelier a réuni une vingtaine de cadres des départements ministériels concernés, des groupes interinstitutionnels et de représentants des ONG internationales nationales œuvrant dans ce domaine.
Selon elle, cette analyse a démontré qu’il n’y a pas de libre circulation des biens et des personnes dans les villes conquises par séléka, entrainant la flambée des prix et la rareté de certaines denrées alimentaires.
« La République Centrafricaine est un grenier de production aussi bien animale que végétale du point de vue de potentialité, cependant il se pose un problème d’organisation », a-t-elle affirmé.
Organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation, cet atelier a réuni une vingtaine de cadres des départements ministériels concernés, des groupes interinstitutionnels et de représentants des ONG internationales nationales œuvrant dans ce domaine.