La journée de lundi a été consacrée à l'audition des rapports de chaque délégation sur la situation sécuritaire générale dans les régions concernées et les actions de la LRA dans chacune de ces régions.
Il ressort de ces rapports qu'en Ouganda, la LRA ne constitue plus un problème dans le pays où ces rebelles ont été chassés et mis hors d'état de nuire.
En effet, traqués par l'armée ougandaise, les rebelles de ce mouvement armé ont pratiquement quitté le sol ougandais pour se réfugier dans les pays voisins notamment en RDC, RCA et au Sud-Soudan où ces milices de la LRA tuent et pillent dans plusieurs villages, créant ainsi une insécurité généralisée qui empêche les populations rurales de vaquer à des activités champêtres, selon les mêmes sources.
Au Sud-Soudan notamment, ces rebelles sont encore actifs, à en croire le délégué de cette région aux travaux de Dungu. Il a précisé que la population sud-soudanaise est victime des actions d'une coalition de la LRA et des militaires de Khartoum.
En Centrafrique, la situation n'est pas meilleure. Sa délégation a fait part des cas d'attaques et des morts enregistrés au quotidien du fait de la présence sur ce territoire des rebelles de la LRA. Des Centrafricains ont fui leurs villages pour se réfugier en RDC.
Les délégués de la RDC ont indiqué qu'à ce jour, les éléments de la LRA sont éparpillés dans les districts du Haut-Uélé et du Bas-Uélé, où ces combattants opèrent actuellement en petits groupes qui font des incursions sporadiques. Plusieurs villages de cette partie de la Province Orientale vivent ainsi dans l'insécurité et plusieurs axes routiers ne sont plus fréquentés à cause de leur présence.
Cette stratégie d'opérer en petits groupes de quatre ou cinq personnes a été optée par les éléments de la LRA après les opérations conjointes menées par les armées ougandaise et congolaise contre cette rébellion en 2009. Ce qui a provoqué la fuite de quelques uns d'entre eux vers la RCA et d'autres vers le Sud-Soudan.
Mardi, les participants se sont penchés sur la situation socio-économique dans les Etats concernés par le phénomène LRA depuis 2008 et l'examen d'une stratégie commune.
Il ressort de ces rapports qu'en Ouganda, la LRA ne constitue plus un problème dans le pays où ces rebelles ont été chassés et mis hors d'état de nuire.
En effet, traqués par l'armée ougandaise, les rebelles de ce mouvement armé ont pratiquement quitté le sol ougandais pour se réfugier dans les pays voisins notamment en RDC, RCA et au Sud-Soudan où ces milices de la LRA tuent et pillent dans plusieurs villages, créant ainsi une insécurité généralisée qui empêche les populations rurales de vaquer à des activités champêtres, selon les mêmes sources.
Au Sud-Soudan notamment, ces rebelles sont encore actifs, à en croire le délégué de cette région aux travaux de Dungu. Il a précisé que la population sud-soudanaise est victime des actions d'une coalition de la LRA et des militaires de Khartoum.
En Centrafrique, la situation n'est pas meilleure. Sa délégation a fait part des cas d'attaques et des morts enregistrés au quotidien du fait de la présence sur ce territoire des rebelles de la LRA. Des Centrafricains ont fui leurs villages pour se réfugier en RDC.
Les délégués de la RDC ont indiqué qu'à ce jour, les éléments de la LRA sont éparpillés dans les districts du Haut-Uélé et du Bas-Uélé, où ces combattants opèrent actuellement en petits groupes qui font des incursions sporadiques. Plusieurs villages de cette partie de la Province Orientale vivent ainsi dans l'insécurité et plusieurs axes routiers ne sont plus fréquentés à cause de leur présence.
Cette stratégie d'opérer en petits groupes de quatre ou cinq personnes a été optée par les éléments de la LRA après les opérations conjointes menées par les armées ougandaise et congolaise contre cette rébellion en 2009. Ce qui a provoqué la fuite de quelques uns d'entre eux vers la RCA et d'autres vers le Sud-Soudan.
Mardi, les participants se sont penchés sur la situation socio-économique dans les Etats concernés par le phénomène LRA depuis 2008 et l'examen d'une stratégie commune.