POLITIQUE
L'objectif de atelier est de réaliser un audit utilisant les principes, critères et indicateurs, Organisation Africaine de Bois et Organisation Internationale des Bois Tropicaux (OAB/OIBT) pour la gestion durable des forêts de production centrafricaines pour déterminer les modalités optimales de leurs utilisations dans le cadre de la légalité et celle de la certification en République Centrafricaine.
M. Vincent Kongo a fait savoir qu'au niveau de la sous-région Afrique centrale, le problème de la gestion durable des forêts s'est inscrit au centre des débats des gouvernants africains, tout en indiquant que la Centrafrique est l'un des pays ayant en commun l'opportunité de gérer une partie de la forêt du Bassin du Congo qui est un réservoire de richesse faisant vivre des millions de peuples.
le Coordonnateur régional du projet conjoint OAB/OIBT, M. Olivier Bihimi, a, pour sa part souhaité que la Centrafrique puisse disposer des ressources nécessaires pour assurer la gestion durable de ses forêts en vue de se conformer aux accords et aux conventions internationaux qu'elle a librement signé.
A cet effet , il a exhorté les bénéficiaires à mettre en application les connaissances acquises au cours de cette formation afin que les résultats escomptés soient atteints.
Organisé par le ministère des Eaux, Forêts Chasse et Pêche avec l'appui financier de WWF et OIBT, cet atelier a regroupé une vingtanie de participants venus de Bangui et de l'arrière pays.
Il est à rappeler que cette session de formation fait suite à celle organisée à Douala au Cameroun du 27 au 29 mai dernier avec le concours de la FAO, qui a permis d'explorer les possibilités d'utilisation de ces outuls avec des exemples des pays comme la République democratique du Congo, du ghana et du Gabon.
M. Vincent Kongo a fait savoir qu'au niveau de la sous-région Afrique centrale, le problème de la gestion durable des forêts s'est inscrit au centre des débats des gouvernants africains, tout en indiquant que la Centrafrique est l'un des pays ayant en commun l'opportunité de gérer une partie de la forêt du Bassin du Congo qui est un réservoire de richesse faisant vivre des millions de peuples.
le Coordonnateur régional du projet conjoint OAB/OIBT, M. Olivier Bihimi, a, pour sa part souhaité que la Centrafrique puisse disposer des ressources nécessaires pour assurer la gestion durable de ses forêts en vue de se conformer aux accords et aux conventions internationaux qu'elle a librement signé.
A cet effet , il a exhorté les bénéficiaires à mettre en application les connaissances acquises au cours de cette formation afin que les résultats escomptés soient atteints.
Organisé par le ministère des Eaux, Forêts Chasse et Pêche avec l'appui financier de WWF et OIBT, cet atelier a regroupé une vingtanie de participants venus de Bangui et de l'arrière pays.
Il est à rappeler que cette session de formation fait suite à celle organisée à Douala au Cameroun du 27 au 29 mai dernier avec le concours de la FAO, qui a permis d'explorer les possibilités d'utilisation de ces outuls avec des exemples des pays comme la République democratique du Congo, du ghana et du Gabon.
