L’objectif de cette rétrocession d’armes aux forces de sécurité est d’exprimer la volonté de la communauté internationale visant à alléger l’embargo qui pèse sur les armes en direction de la République Centrafricaine mais aussi de renforcer les capacités opérationnelles de la Gendarmerie nationale et la Police centrafricaine en particulier.
Suivant la nomenclature de la distribution, 15 armes ont été remises à la Gendarmerie nationale et 15 autres ont été octroyées à la Compagnie Nationale de Sécurité (CNS).
Dans son discours de circonstance, la Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations-Unies en République Centrafricaine et chef-adjointe de la Mission Intégrée multidimensionnelle de Stabilisation des Nations Unies en République Centrafricaine (MINUSCA), Diane Corner, a estimé qu’en plus « du début d’allègement de l’embargo sur les armes en direction de la République Centrafricaine, la rétrocession d’armes aux forces de sécurité est une étape supplémentaire de résolution de la crise centrafricaine, notamment la restauration de l’autorité de l’Etat ».
Il convient de signaler qu’en dépit d’un embargo encore en vigueur, conformément à la résolution 2127 des Nations-Unies de 2013, instituant même un comité de sanctions concernant la République Centrafricaine au sein de la MINUSCA, le gouvernement multiplier les plaidoyers en vue de desserrer l’étau autour de la Compagnie Nationale de Sécurité (CNS) et le Groupe de Sécurité et de l’Intervention de la Gendarmerie Nationale(GSIGN).
Suivant la nomenclature de la distribution, 15 armes ont été remises à la Gendarmerie nationale et 15 autres ont été octroyées à la Compagnie Nationale de Sécurité (CNS).
Dans son discours de circonstance, la Représentante spéciale adjointe du Secrétaire général des Nations-Unies en République Centrafricaine et chef-adjointe de la Mission Intégrée multidimensionnelle de Stabilisation des Nations Unies en République Centrafricaine (MINUSCA), Diane Corner, a estimé qu’en plus « du début d’allègement de l’embargo sur les armes en direction de la République Centrafricaine, la rétrocession d’armes aux forces de sécurité est une étape supplémentaire de résolution de la crise centrafricaine, notamment la restauration de l’autorité de l’Etat ».
Il convient de signaler qu’en dépit d’un embargo encore en vigueur, conformément à la résolution 2127 des Nations-Unies de 2013, instituant même un comité de sanctions concernant la République Centrafricaine au sein de la MINUSCA, le gouvernement multiplier les plaidoyers en vue de desserrer l’étau autour de la Compagnie Nationale de Sécurité (CNS) et le Groupe de Sécurité et de l’Intervention de la Gendarmerie Nationale(GSIGN).