Dans ses propos liminaire, le porte-parole de la MINUSCA, Vladimir Monteiro a expliqué que le représentant spécial du secrétaire général des Nations-Unies, Mankeur Ndiaye poursuit ses contacts avec le gouvernement, les garants de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique et les 2 groupes armés impliqués dans l’incident survenu dimanche dernier à Birao.
Il a rappelé les principaux points du communiqué de presse conjoint des facilitateurs et garants dudit accord qualifiant cet incident de violation flagrant de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique, signé le 6 février à Bangui.
Il a noté que la représentante spéciale du Secrétaire général des Nations-Unies et coordonnatrice humanitaire, Denise Brown s’est rendu immédiatement à Birao pour évaluer les besoins humanitaires de nombreux déplacés.
S’agissant de la restauration de l’autorité de l’Etat, thème central de ladite conférence de presse, le général Pascal Champion a indiqué qu’il est important que la police et la gendarmerie retournent d’ans l’arrière-pays afin de garantir la sécurité de la population, et de contribuer au bon fonctionnement des autres administrations.
«On a constaté que sur 2.800 policiers et gendarmes que compte la RCA, la répartition est encore insuffisante puisque 71% sont à Bangui et le reste dans les autres régions », a-t-il poursuivi.
Selon lui, ce déséquilibre entre Bangui et les autres régions du pays nécessite la mise en place d’un ensemble d’actions avant le redéploiement des FSI en dehors de Bangui.
Le général Pascal Champion a aussi relevé que qu’en 2016, la MINUSCA a mis en place un mécanisme de soutien à la police et à la gendarmerie notamment l’établissement d’un plan de renforcement des capacités du développement sur plusieurs années ainsi que le plan global de redéploiement.
Il convient de signaler que ces deux plans ont été élaborés avant la signature de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique, et a ajouté la création de l’unité spéciale mixte de sécurité (USMS)..
Il a rappelé les principaux points du communiqué de presse conjoint des facilitateurs et garants dudit accord qualifiant cet incident de violation flagrant de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique, signé le 6 février à Bangui.
Il a noté que la représentante spéciale du Secrétaire général des Nations-Unies et coordonnatrice humanitaire, Denise Brown s’est rendu immédiatement à Birao pour évaluer les besoins humanitaires de nombreux déplacés.
S’agissant de la restauration de l’autorité de l’Etat, thème central de ladite conférence de presse, le général Pascal Champion a indiqué qu’il est important que la police et la gendarmerie retournent d’ans l’arrière-pays afin de garantir la sécurité de la population, et de contribuer au bon fonctionnement des autres administrations.
«On a constaté que sur 2.800 policiers et gendarmes que compte la RCA, la répartition est encore insuffisante puisque 71% sont à Bangui et le reste dans les autres régions », a-t-il poursuivi.
Selon lui, ce déséquilibre entre Bangui et les autres régions du pays nécessite la mise en place d’un ensemble d’actions avant le redéploiement des FSI en dehors de Bangui.
Le général Pascal Champion a aussi relevé que qu’en 2016, la MINUSCA a mis en place un mécanisme de soutien à la police et à la gendarmerie notamment l’établissement d’un plan de renforcement des capacités du développement sur plusieurs années ainsi que le plan global de redéploiement.
Il convient de signaler que ces deux plans ont été élaborés avant la signature de l’accord politique de paix et de réconciliation en Centrafrique, et a ajouté la création de l’unité spéciale mixte de sécurité (USMS)..