L’enjeu de cette journée est de faire des points sur les lois votées en faveur des femmes, leur mise en œuvre et de réfléchir sur les prochaines lois pour la nouvelle génération des femmes centrafricaines.
La Première Dame, Brigitte Touadéra a soutenu que le thème retenu pour cette journée en différée, est un facteur déterminant pour la contribution de la femme centrafricaine à la consolidation de la paix, gage d’un développement durable pour notre pays.
« Malgré l’existence d’un cadre juridique qui constitue une avancée pour garantir l’égalité des droits entre l’homme et la femme et la participation des femmes et des jeunes dans le processus électoral, nous constatons avec regret la persistance des barrières culturelles et le taux d’analphabétisme très prononcé en milieu féminin », a relevé Brigitte Touadéra.
« Eu égard à cette impérative, nous devrions saisir toutes les opportunités afin de relever ces défis », a-t-elle souligné.
La présidente du Forum des Femmes Parlementaires de Centrafrique Emilie Béatrice Epaye, a indiqué que les femmes représentent plus de la moitié de la population centrafricaine, elles sont aussi les principales victimes des crises que le pays a connues; à ce titre, elles doivent être impliquées dans le processus de développement du pays et particulièrement dans le processus électoral à tous les niveaux.
Elle a exprimé que les femmes parlementaires ont besoin des alliés pour les soutenir dans le processus électoral.
Il convient de rappeler que cette rencontre en différée de la Journée Internationale des Droits des Femmes, est organisée par le Forum des Femmes parlementaires de Centrafrique, a mobilisé les femmes leaders venant des provinces et de Bangui.
La Première Dame, Brigitte Touadéra a soutenu que le thème retenu pour cette journée en différée, est un facteur déterminant pour la contribution de la femme centrafricaine à la consolidation de la paix, gage d’un développement durable pour notre pays.
« Malgré l’existence d’un cadre juridique qui constitue une avancée pour garantir l’égalité des droits entre l’homme et la femme et la participation des femmes et des jeunes dans le processus électoral, nous constatons avec regret la persistance des barrières culturelles et le taux d’analphabétisme très prononcé en milieu féminin », a relevé Brigitte Touadéra.
« Eu égard à cette impérative, nous devrions saisir toutes les opportunités afin de relever ces défis », a-t-elle souligné.
La présidente du Forum des Femmes Parlementaires de Centrafrique Emilie Béatrice Epaye, a indiqué que les femmes représentent plus de la moitié de la population centrafricaine, elles sont aussi les principales victimes des crises que le pays a connues; à ce titre, elles doivent être impliquées dans le processus de développement du pays et particulièrement dans le processus électoral à tous les niveaux.
Elle a exprimé que les femmes parlementaires ont besoin des alliés pour les soutenir dans le processus électoral.
Il convient de rappeler que cette rencontre en différée de la Journée Internationale des Droits des Femmes, est organisée par le Forum des Femmes parlementaires de Centrafrique, a mobilisé les femmes leaders venant des provinces et de Bangui.