Cette formation a pour but d’outiller les participants sur trois modules notamment, le développement des concepts d’arbitrage moderne, une simulation de formation entre les formateurs et les apprenants et enfin de mettre les participants dans les conditions de formation d’un arbitre et les joueurs.
Célestin Yadéndji, a indiqué que la Fédération centrafricaine de football doit intensifier la formation des arbitres de l’arrière-pays et cela dépend de l’organisation au niveau du département d’arbitrage.
Selon le Président Yadéndji, le bureau fédéral va s’atteler avec le département d’arbitrage en vue de faire un découpage et affecter les instructeurs suivant les régions pour la formation des arbitres en Centrafrique.
« L’aspect de représentativité de football centrafricain par le canal des arbitres est souvent relégué au second plan, alors que les deux vont ensemble. Il ne peut pas avoir un football de haut niveau sans avoir un arbitre de haut niveau ; donc il appartient aux formateurs de bien faire leur travail, afin d’amener les arbitres à un niveau requis », a fait savoir le responsable du bureau fédéral.
L’expert de la FIFA, Raphael Evehé-Divinè, a, pour sa part, souhaité qu’à la fin de cette formation, que chaque apprenant se met au service de la Fédération de football, afin de rehausser le niveau du corps arbitral centrafricain à l’échelle international.
Il sied de rappeler qu’au total 14 arbitres et arbitres assistants de la ligue de football de Bangui qui ont pris part à cette formation de quatre jours organisée par la FCF avec l’appui technique et financier de la FIFA.
Célestin Yadéndji, a indiqué que la Fédération centrafricaine de football doit intensifier la formation des arbitres de l’arrière-pays et cela dépend de l’organisation au niveau du département d’arbitrage.
Selon le Président Yadéndji, le bureau fédéral va s’atteler avec le département d’arbitrage en vue de faire un découpage et affecter les instructeurs suivant les régions pour la formation des arbitres en Centrafrique.
« L’aspect de représentativité de football centrafricain par le canal des arbitres est souvent relégué au second plan, alors que les deux vont ensemble. Il ne peut pas avoir un football de haut niveau sans avoir un arbitre de haut niveau ; donc il appartient aux formateurs de bien faire leur travail, afin d’amener les arbitres à un niveau requis », a fait savoir le responsable du bureau fédéral.
L’expert de la FIFA, Raphael Evehé-Divinè, a, pour sa part, souhaité qu’à la fin de cette formation, que chaque apprenant se met au service de la Fédération de football, afin de rehausser le niveau du corps arbitral centrafricain à l’échelle international.
Il sied de rappeler qu’au total 14 arbitres et arbitres assistants de la ligue de football de Bangui qui ont pris part à cette formation de quatre jours organisée par la FCF avec l’appui technique et financier de la FIFA.