L'Agence des Nations unies a indiqué espérer que l'accord cadre, conclu dimanche à Rome par le président de la BID Ahmad Mohamed Ali et le directeur général de la FAO Jacques Diouf, aidera à augmenter les ressources additionnelles et portera l'investissement total dans le programme BID-FAO à quelque 5 milliards de dollars américains d'ici 2012.
Cet accord survient à un moment important où la communauté internationale reconnait avoir négligé l'agriculture pendant de nombreuses années. Aujourd'hui, un investissement durable dans l'agriculture, en particulier l'agriculture faite par les petits fermiers, est reconnu comme la clé pour la sécurité alimentaire, a indiqué la FAO.
Selon l'accord, la BID contribuera à hauteur d'un milliard de dollars américains au cours des trois prochaines années (2010-2012) dans le cadre de la Déclaration de Jeddah, approuvée par le Conseil des directeurs exécutifs de la BID en juin 2008, pour financer les projets prioritaires dans les 26 pays les moins développés qui sont membres de la BID.
La FAO devrait apporter tout le soutien technique nécessaire pour l'élaboration et l'exécution des projets.
Les deux institutions partagent la même vision et la même stratégie et continueront de travailler ensemble dans l'amélioration de l'infrastructure rurale, la promotion du développement économique et l'amélioration de la sécurité alimentaire tout en renforçant et en revitalisant leur coopération, a affirmé l'organisme onusien.
Cet accord survient à un moment important où la communauté internationale reconnait avoir négligé l'agriculture pendant de nombreuses années. Aujourd'hui, un investissement durable dans l'agriculture, en particulier l'agriculture faite par les petits fermiers, est reconnu comme la clé pour la sécurité alimentaire, a indiqué la FAO.
Selon l'accord, la BID contribuera à hauteur d'un milliard de dollars américains au cours des trois prochaines années (2010-2012) dans le cadre de la Déclaration de Jeddah, approuvée par le Conseil des directeurs exécutifs de la BID en juin 2008, pour financer les projets prioritaires dans les 26 pays les moins développés qui sont membres de la BID.
La FAO devrait apporter tout le soutien technique nécessaire pour l'élaboration et l'exécution des projets.
Les deux institutions partagent la même vision et la même stratégie et continueront de travailler ensemble dans l'amélioration de l'infrastructure rurale, la promotion du développement économique et l'amélioration de la sécurité alimentaire tout en renforçant et en revitalisant leur coopération, a affirmé l'organisme onusien.