
Elle a relevé que dans un passé récent la femme était reléguée au second plan ; et c’est seulement durant la dernière décennie que, avec la prise de conscience de nos concitoyennes que, la femme centrafricaine commence à retrouver progressivement la place qui lui revient dans la société ».
Selon Mme. Elisabeth Kofio, la femme est d’abord mère au foyer puis conseillère, si on lui confie une responsabilité dans le monde de travail, elle a toujours le souci de bien faire son travail et parfois il y a même chez elle un excès de zèle.
S’agissant de la redynamisation de l’ENERCA, elle fait savoir que dès sa nomination à la tête de ladite société, elle a eu la notification de la Banque Africaine de Développement (BAD), des rétrocessions de fonds octroyés par ladite institution financière pour le dédoublement de Boali 2. De même l’installation des turbines de Boali 3 dont les travaux ont commencé sous mon prédécesseur est en voie de finalisation.
Parlant d’une véritable électrification de la ville de Bangui, la directrice générale de l’ENERCA, Mme. Elisabeth Kofio a expliqué que : « sa société a déjà amorcé les procédures pour déclencher l’exécution des travaux de Boali 2 qui vont enchainer avec ceux de Boali 3 ».
« Dans deux ans, les banguissois ne vont plus subir le phénomène de délestage dans la capitale centrafricaine » a-t-elle ajoutée.
Par ailleurs, Mme. Elisabeth Kofio a constaté que très peu de femmes travaillent dans l’administration publique et dans les sociétés privées, alors que la majorité de la population centrafricaine est constituée des femmes, cela sous-entend que l’avenir de la République Centrafricaine devra reposer sur les femmes.
« Nous devons nous lever : que cela soit au foyer, là où les femmes se trouvent en exerçant le commerce et d’autres activités génératrices de revenu, si nous comprenons ce rôle joué par les femmes dans la consolidation de la paix, je crois que la Centrafrique sera un pays de havre » a-t-elle conseillé.
Il convient de rappeler que pour la célébration de la journée internationale de femme de cette année 2013, les Nations-Unies ont choisi comme thème : « Une promesse est une promesse : il est temps de passer à l’action pour mettre fin à la violence faite à l’égard des femmes ».
Selon Mme. Elisabeth Kofio, la femme est d’abord mère au foyer puis conseillère, si on lui confie une responsabilité dans le monde de travail, elle a toujours le souci de bien faire son travail et parfois il y a même chez elle un excès de zèle.
S’agissant de la redynamisation de l’ENERCA, elle fait savoir que dès sa nomination à la tête de ladite société, elle a eu la notification de la Banque Africaine de Développement (BAD), des rétrocessions de fonds octroyés par ladite institution financière pour le dédoublement de Boali 2. De même l’installation des turbines de Boali 3 dont les travaux ont commencé sous mon prédécesseur est en voie de finalisation.
Parlant d’une véritable électrification de la ville de Bangui, la directrice générale de l’ENERCA, Mme. Elisabeth Kofio a expliqué que : « sa société a déjà amorcé les procédures pour déclencher l’exécution des travaux de Boali 2 qui vont enchainer avec ceux de Boali 3 ».
« Dans deux ans, les banguissois ne vont plus subir le phénomène de délestage dans la capitale centrafricaine » a-t-elle ajoutée.
Par ailleurs, Mme. Elisabeth Kofio a constaté que très peu de femmes travaillent dans l’administration publique et dans les sociétés privées, alors que la majorité de la population centrafricaine est constituée des femmes, cela sous-entend que l’avenir de la République Centrafricaine devra reposer sur les femmes.
« Nous devons nous lever : que cela soit au foyer, là où les femmes se trouvent en exerçant le commerce et d’autres activités génératrices de revenu, si nous comprenons ce rôle joué par les femmes dans la consolidation de la paix, je crois que la Centrafrique sera un pays de havre » a-t-elle conseillé.
Il convient de rappeler que pour la célébration de la journée internationale de femme de cette année 2013, les Nations-Unies ont choisi comme thème : « Une promesse est une promesse : il est temps de passer à l’action pour mettre fin à la violence faite à l’égard des femmes ».