Au cours de cette conférence de presse tenue à la veille de la Fête de l'Europe, M. Esmieu a souligné que la Commission Européenne a décidé de créer dans l’arrière- pays centrafricain des pôles de développement pour enrayer la pauvreté.
Le Chef de Délégation de la Commission Européenne a également annoncé la mise en oeuvre procahine d'un projet de 10 millions d’euros destiné à renforcer la justice et à restructurer la police centrafricaine.
Dans le domaine de la sécurité, M. Esmieu a demandé au gouvernement centrafricain de prendre des mesures susceptibles de favoriser un développement harmonieux du pays. Il s'agit notamment de supprimer toutes les barrières sur les voies de communication, de mettre un terme aux recrutements déséquilibrés dans l’armée et la police et de mettre également fin à l’impunité dont bénéficient les auteurs de violation des droits de l'Homme ainsi qu'au maintien en détention des mineurs.
Il a ajouté que la prise de toutes ces mesures serait, selon lui, de nature à redonner confiance non seulement à la population, mais aussi aux bailleurs de fonds afin d’aider la Centrafrique pour son développement.
Abordant le sujet des accords de paix avec les groupes rebelles, le diplomate européen a affirmé qu’ « il faut associer la Communauté Internationale au discussion de ces accords de paix ».
Le Chef de Délégation de la Commission Européenne a également annoncé la mise en oeuvre procahine d'un projet de 10 millions d’euros destiné à renforcer la justice et à restructurer la police centrafricaine.
Dans le domaine de la sécurité, M. Esmieu a demandé au gouvernement centrafricain de prendre des mesures susceptibles de favoriser un développement harmonieux du pays. Il s'agit notamment de supprimer toutes les barrières sur les voies de communication, de mettre un terme aux recrutements déséquilibrés dans l’armée et la police et de mettre également fin à l’impunité dont bénéficient les auteurs de violation des droits de l'Homme ainsi qu'au maintien en détention des mineurs.
Il a ajouté que la prise de toutes ces mesures serait, selon lui, de nature à redonner confiance non seulement à la population, mais aussi aux bailleurs de fonds afin d’aider la Centrafrique pour son développement.
Abordant le sujet des accords de paix avec les groupes rebelles, le diplomate européen a affirmé qu’ « il faut associer la Communauté Internationale au discussion de ces accords de paix ».