Cette convention a pour objectif de donner un coup de pouce à l’ICASEES pour qu’il soit en mesure de produire des données susceptibles d’orienter les décisions des autorités gouvernementales.
Le ministre Léopold Mboli Fratran a fait remarquer qu’à la suite de la grande crise qui a secoué la République Centrafricaine, « les infrastructures de l’institut national des statistiques, qu’il s’agisse des mobiliers, d’ordinateurs, des moyens roulants destinés à la collecte des données, d’accès à Internet, n’avaient pas été épargnées et qu’il est indispensable de les reconstituer ».
De l’avis du représentant de la Banque mondiale en République Centrafricaine, Jean-Christophe Carret, ce projet fait partie des promesses faites à Bruxelles lors de la table-ronde des bailleurs de fonds de la RCA en novembre dernier par l’institution qu’il représente.
Il a, entre autres, évoqué « la préparation de chacun des projets susceptibles d’aider la République Centrafricaine à la stabilisation, notamment le retour des ex-combattants d’une part et des personnes déplacées d’autres part, l’appui à la gestion des finances publiques, la réouverture des routes, la relance de l’économie et de l’agriculture, l’accès aux services sociaux de base, à savoir la santé, l’eau, l’électricité, etc.
Pour lui, il est question, à travers ces réalisations, « de faire en sorte que le pays soit capable de produire des données statistiques sur la population, le niveau de pauvreté ou de richesse des ménages et les activités économiques ».
A n’en point douter, a-t-il conclu, « avec ce financement, l’ICASEES sera autonome financièrement, administrativement et techniquement dans le cadre de sa mission. Ainsi, elle pourra, par ailleurs, porter à la connaissance du grand public les données statistiques dans un souci de transparence et de démocratie ».
Le ministre Léopold Mboli Fratran a fait remarquer qu’à la suite de la grande crise qui a secoué la République Centrafricaine, « les infrastructures de l’institut national des statistiques, qu’il s’agisse des mobiliers, d’ordinateurs, des moyens roulants destinés à la collecte des données, d’accès à Internet, n’avaient pas été épargnées et qu’il est indispensable de les reconstituer ».
De l’avis du représentant de la Banque mondiale en République Centrafricaine, Jean-Christophe Carret, ce projet fait partie des promesses faites à Bruxelles lors de la table-ronde des bailleurs de fonds de la RCA en novembre dernier par l’institution qu’il représente.
Il a, entre autres, évoqué « la préparation de chacun des projets susceptibles d’aider la République Centrafricaine à la stabilisation, notamment le retour des ex-combattants d’une part et des personnes déplacées d’autres part, l’appui à la gestion des finances publiques, la réouverture des routes, la relance de l’économie et de l’agriculture, l’accès aux services sociaux de base, à savoir la santé, l’eau, l’électricité, etc.
Pour lui, il est question, à travers ces réalisations, « de faire en sorte que le pays soit capable de produire des données statistiques sur la population, le niveau de pauvreté ou de richesse des ménages et les activités économiques ».
A n’en point douter, a-t-il conclu, « avec ce financement, l’ICASEES sera autonome financièrement, administrativement et techniquement dans le cadre de sa mission. Ainsi, elle pourra, par ailleurs, porter à la connaissance du grand public les données statistiques dans un souci de transparence et de démocratie ».