L’objectif de ce communiqué de presse est de remettre en questions les rumeurs persistantes sur la recrudescence des faux billets de banque en République Centrafricaine.
D’après le communiqué, « les méthodes utilisées par les faussaires sont rudimentaires et la qualité des faux billets est très médiocre. D’où une plus grande attention des caissières et caissiers des banques commerciales aurait permis de déceler facilement ces faux billets ».
Le document a précisé que « la persistance de la fausse monnaie s’explique aussi par le fait qu’une personne qui en reçoit, par inadvertance, fait tout pour effectuer à son tour un achat frauduleux, ignorant ainsi qu’elle commet à son tour une infraction punie par la loi ».
C’est pourquoi, « il est rappelé à la population que toute personne qui tente de faire un paiement avec de la fausse monnaie est passible d’une peine de prison et/ou d’une amende et que toute personne qui reçoit de la fausse monnaie doit la déposer à la police, le cas échant, dénoncer celui de qui il l’a reçu ».
Il est donc prévu que dorénavant, « les banques commerciales doivent systématiquement retenir les faux billets versés à leurs guichets et identifier les porteurs. Les fiches d’indentification des porteurs de faux billets doivent être transmises à la Banque centrale, accompagnées des faux ».
En outre, « la Police et la Justice doivent systématiquement enquêter sur les cas de faux billets afin de remonter les filières ».
Le communiqué a signalé que « pour améliorer la qualité générale des billets en circulation, les banques commerciales ne doivent plus remettre à leurs clients les billets versés par d’autres clients à leurs guichets. Les billets versés doivent être déposés à la Banque centrale pour être vérifiés et triés. Les billets remis aux clients doivent provenir directement des caisses de la Banque centrale ».
Il a par ailleurs stipulé que « la Banque des Etats de l’Afrique centrale rappelle qu’elle seule est habilitée à communiquer sur la monnaie. Les autres acteurs de la vie publique doivent la saisir pour tout dysfonctionnement constaté à leur niveau. Toute attitude contraire est susceptible de porter préjudice à la stabilité financière de la République Centrafricaine ».
Il est à noter que toutes ces nouvelles dispositions sont issues du « séminaire sur l’authentification des billets de banque BEAC et Euro », organisé à Bangui du 14 au 20 septembre 2016 à l’attention des représentants du Ministère de la Justice, du Ministère de l’Intérieur, des banques commerciales et du Trésor.
D’après le communiqué, « les méthodes utilisées par les faussaires sont rudimentaires et la qualité des faux billets est très médiocre. D’où une plus grande attention des caissières et caissiers des banques commerciales aurait permis de déceler facilement ces faux billets ».
Le document a précisé que « la persistance de la fausse monnaie s’explique aussi par le fait qu’une personne qui en reçoit, par inadvertance, fait tout pour effectuer à son tour un achat frauduleux, ignorant ainsi qu’elle commet à son tour une infraction punie par la loi ».
C’est pourquoi, « il est rappelé à la population que toute personne qui tente de faire un paiement avec de la fausse monnaie est passible d’une peine de prison et/ou d’une amende et que toute personne qui reçoit de la fausse monnaie doit la déposer à la police, le cas échant, dénoncer celui de qui il l’a reçu ».
Il est donc prévu que dorénavant, « les banques commerciales doivent systématiquement retenir les faux billets versés à leurs guichets et identifier les porteurs. Les fiches d’indentification des porteurs de faux billets doivent être transmises à la Banque centrale, accompagnées des faux ».
En outre, « la Police et la Justice doivent systématiquement enquêter sur les cas de faux billets afin de remonter les filières ».
Le communiqué a signalé que « pour améliorer la qualité générale des billets en circulation, les banques commerciales ne doivent plus remettre à leurs clients les billets versés par d’autres clients à leurs guichets. Les billets versés doivent être déposés à la Banque centrale pour être vérifiés et triés. Les billets remis aux clients doivent provenir directement des caisses de la Banque centrale ».
Il a par ailleurs stipulé que « la Banque des Etats de l’Afrique centrale rappelle qu’elle seule est habilitée à communiquer sur la monnaie. Les autres acteurs de la vie publique doivent la saisir pour tout dysfonctionnement constaté à leur niveau. Toute attitude contraire est susceptible de porter préjudice à la stabilité financière de la République Centrafricaine ».
Il est à noter que toutes ces nouvelles dispositions sont issues du « séminaire sur l’authentification des billets de banque BEAC et Euro », organisé à Bangui du 14 au 20 septembre 2016 à l’attention des représentants du Ministère de la Justice, du Ministère de l’Intérieur, des banques commerciales et du Trésor.