« Au rythme ou les députés de la majorité sont convoqués et siègent à la Présidence de la République, nous sommes en train de nous interroger si le siège de l’Assemblée Nationale ne va pas bientôt être transféré à la Présidence de la République ou l’inverse », a commenté le vice-président du groupe parlementaire du Mouvement de Libération du Peuple Centrafricain (Mlpc), Christophe Ndouba.
« Nous avons estimé que c’était de la supercherie, dans la mesure où le projet de loi tel que proposé par la Commission mixte était suffisamment consensuel, mais les amendements qu’ils (les députés de la majorité) ont introduit jusqu’à régler les détails techniques notamment le désarmement, la démobilisation, le cantonnement avaient changé fondamentalement le texte initial, c’est pour cela que nous nous sommes retirés », a-t-il expliqué.
Nous avons dit : « que chacun assume ses responsabilités devant le peuple centrafricain et devant l’histoire, et que le moment venu chacun aura à rendre compte de son action », a-t-il poursuivi.
Le coordonnateur de l’Union des Forces Vives de la Nation (Ufvn), Me Henri Pouzère, a conditionné le retour définitif de son entité dans le processus du Dialogue Politique Inclusif par le respect du consensus convenu d’un accord commun.
« Nous disons que les élections de 2010 ne se feront jamais tant que nous ne réussirons pas à créer les bases fondamentales de ces élections de 2010, et pour créer ces bases, il faut forcément la tenue du Dialogue Politique Inclusif », a-t-il déclaré.
Rappelons qu’à l’issue du débat parlementaire sur le vote du projet de loi d’amnistie générale, l’opposition a refusé de prendre part au vote dudit projet querellé par les partis politiques de l’opposition démocratique regroupé au sein de l’Ufvn au lendemain de l’ouverture de la session parlementaire, le 1er Août dernier.
« Nous avons estimé que c’était de la supercherie, dans la mesure où le projet de loi tel que proposé par la Commission mixte était suffisamment consensuel, mais les amendements qu’ils (les députés de la majorité) ont introduit jusqu’à régler les détails techniques notamment le désarmement, la démobilisation, le cantonnement avaient changé fondamentalement le texte initial, c’est pour cela que nous nous sommes retirés », a-t-il expliqué.
Nous avons dit : « que chacun assume ses responsabilités devant le peuple centrafricain et devant l’histoire, et que le moment venu chacun aura à rendre compte de son action », a-t-il poursuivi.
Le coordonnateur de l’Union des Forces Vives de la Nation (Ufvn), Me Henri Pouzère, a conditionné le retour définitif de son entité dans le processus du Dialogue Politique Inclusif par le respect du consensus convenu d’un accord commun.
« Nous disons que les élections de 2010 ne se feront jamais tant que nous ne réussirons pas à créer les bases fondamentales de ces élections de 2010, et pour créer ces bases, il faut forcément la tenue du Dialogue Politique Inclusif », a-t-il déclaré.
Rappelons qu’à l’issue du débat parlementaire sur le vote du projet de loi d’amnistie générale, l’opposition a refusé de prendre part au vote dudit projet querellé par les partis politiques de l’opposition démocratique regroupé au sein de l’Ufvn au lendemain de l’ouverture de la session parlementaire, le 1er Août dernier.