Le Docteur Balébanda a déclaré que les crises qui ont secoué la République Centrafricaine n’ont pas épargné la ville de Bambari qui a connu la destruction de plusieurs installations administratives parmi lesquelles, l’hôpital préfectoral de Bambari.
« Cette crise a engendré l’insécurité sanitaire de la population qui n’a pas accès aux soins de santé appropriés, mais qui se voit obligée d’observer l’automédication, qui est un autre risque pour leur santé», a déclaré le médecin chef.
Selon lui, c’est grâce à l’appui multiforme des partenaires humanitaires comme Médecins Sans Frontières (MSF) Hollande, le Comité International de la Croix Rouge, que l’hôpital préfectoral de Bambari fonctionne actuellement.
« Beaucoup reste à faire surtout sur le plan de la restructuration des installations sanitaires de base, le renforcement des capacités de l’hôpital en termes d’agents qualifiés et surtout l’absence des services sanitaires qui offrent la gratuité de soins à la population de Bambari qui vit encore dans précarité», s’est exclamé M. Balébanda.
Il n’ pas manqué de relever les maladies récurrentes qui mettent en mal la sécurité sanitaire de la population, entre autres : le paludisme, la diarrhée et surtout la malnutrition des enfants, conséquence du manque de l’autosuffisance alimentaire.
Il a souhaité que la célébration de la Journée Mondiale de l’Alimentation à Bambari soit une opportunité pour le relèvement de cette ville jadis laborieuse, ainsi que ses environs.
Il convient de souligner que l’hôpital préfectoral de Bambari fait partie de la région sanitaire n°4.
« Cette crise a engendré l’insécurité sanitaire de la population qui n’a pas accès aux soins de santé appropriés, mais qui se voit obligée d’observer l’automédication, qui est un autre risque pour leur santé», a déclaré le médecin chef.
Selon lui, c’est grâce à l’appui multiforme des partenaires humanitaires comme Médecins Sans Frontières (MSF) Hollande, le Comité International de la Croix Rouge, que l’hôpital préfectoral de Bambari fonctionne actuellement.
« Beaucoup reste à faire surtout sur le plan de la restructuration des installations sanitaires de base, le renforcement des capacités de l’hôpital en termes d’agents qualifiés et surtout l’absence des services sanitaires qui offrent la gratuité de soins à la population de Bambari qui vit encore dans précarité», s’est exclamé M. Balébanda.
Il n’ pas manqué de relever les maladies récurrentes qui mettent en mal la sécurité sanitaire de la population, entre autres : le paludisme, la diarrhée et surtout la malnutrition des enfants, conséquence du manque de l’autosuffisance alimentaire.
Il a souhaité que la célébration de la Journée Mondiale de l’Alimentation à Bambari soit une opportunité pour le relèvement de cette ville jadis laborieuse, ainsi que ses environs.
Il convient de souligner que l’hôpital préfectoral de Bambari fait partie de la région sanitaire n°4.