L’ancien chef d’Etat de la transition Michel Ndjotodia Am Nodrogo a signalé qu’il n’a pas rempli toutes les conditions d’éligibilité entre autres celles liées au séjour, si non à la résidence sur le territoire national au moins 1 an avant le dépôt de candidature, exhortant d’autres candidats qui n’ont pas rempli les conditions édictées par l’Autorité Nationale des Elections, (ANE) de le faire autant.
Il a rappelé que pendant son séjour à l’étranger, il a été consacré "Ambassadeur pour la promotion de la paix universelle", le 27novembre 2019 à Niamey (Niger) par la Fondation pour la paix universelle, affiliée auCconseil social et économique des Nations Unies dont le siège mondial se trouve à Séoul en Corée du sud et le siège en Afrique se trouve à Abuja au Nigéria.
« En 2013, face à l’impasse politique et sécuritaire dans laquelle se trouvait le pays, plusieurs voix venant de partout, aussi bien national qu’international me demandant de m’accrocher au pouvoir, j’avais refusé, afin de préserver la paix, le concorde national», a rappelé Michel Ndotodja.
Selon lui, il ne peut pas promouvoir la paix universelle ailleurs sans se soucier de son pays, la République Centrafricaine. Pour lui, la priorité des priorités en RCA, c’est de faire en sorte que les prochaines échéances électorales du 27 décembre 2020 se passent dans la quiétude.
Il a invité le peuple Centrafricain à un sursaut patriotique pour sauver la démocratie et préserver la paix en République Centrafricaine car la paix n’a pas de prix.
Il faut noter que cette rencontre de l’ancien Président de la transition a pu mobiliser une cinquantaine professionnels des médias nationaux et internationaux.
Il a rappelé que pendant son séjour à l’étranger, il a été consacré "Ambassadeur pour la promotion de la paix universelle", le 27novembre 2019 à Niamey (Niger) par la Fondation pour la paix universelle, affiliée auCconseil social et économique des Nations Unies dont le siège mondial se trouve à Séoul en Corée du sud et le siège en Afrique se trouve à Abuja au Nigéria.
« En 2013, face à l’impasse politique et sécuritaire dans laquelle se trouvait le pays, plusieurs voix venant de partout, aussi bien national qu’international me demandant de m’accrocher au pouvoir, j’avais refusé, afin de préserver la paix, le concorde national», a rappelé Michel Ndotodja.
Selon lui, il ne peut pas promouvoir la paix universelle ailleurs sans se soucier de son pays, la République Centrafricaine. Pour lui, la priorité des priorités en RCA, c’est de faire en sorte que les prochaines échéances électorales du 27 décembre 2020 se passent dans la quiétude.
Il a invité le peuple Centrafricain à un sursaut patriotique pour sauver la démocratie et préserver la paix en République Centrafricaine car la paix n’a pas de prix.
Il faut noter que cette rencontre de l’ancien Président de la transition a pu mobiliser une cinquantaine professionnels des médias nationaux et internationaux.