POLITIQUE
Selon le coordinateur humanitaire de l'ONU chargé de la Libye, Panos Moumtzis, L'appel initial du 5 mars demandait 160 millions de dollars pour soutenir les besoins humanitaires en Libye et dans les pays voisins (Tunisie, Egypte).
L'appel a été partiellement mise à jour le 1er mars pour refléter l'évolution des besoins en Libye. Cette mise à jour a augmenté les besoins de financement de 310 millions de dollars, a indiqué M. Moumtzis.
La rapide évolution de la situation à l'intérieur de la Libye a exigé une révision majeure de l'appel régional pour la crise libyenne couvrant la période de mai à début septembre 2011, a-t-il ajouté.
« L'appel d'aujourd'hui est de 407 millions de dollars. A ce jour, nous avons reçu 175 millions, ce qui est équivaut à 43% des besoins», a affirmé M. Moumtzis.
Il a qualifié l'opération humanitaire en cours comme « la plus grande et la plus rapide évacuation de l'histoire. ».
Selon M. Moumtzis, depuis le début de la crise an Libye, il y a trois mois, plus de 803.000 personnes ont fui le pays. Près de 5. 000 personnes se trouvent bloquées aux frontières tunisiennes, égyptiennes et nigériennes. Environ 200.000 personnes déplacées internes ont été recueillies par les populations locales.
L'appel a été partiellement mise à jour le 1er mars pour refléter l'évolution des besoins en Libye. Cette mise à jour a augmenté les besoins de financement de 310 millions de dollars, a indiqué M. Moumtzis.
La rapide évolution de la situation à l'intérieur de la Libye a exigé une révision majeure de l'appel régional pour la crise libyenne couvrant la période de mai à début septembre 2011, a-t-il ajouté.
« L'appel d'aujourd'hui est de 407 millions de dollars. A ce jour, nous avons reçu 175 millions, ce qui est équivaut à 43% des besoins», a affirmé M. Moumtzis.
Il a qualifié l'opération humanitaire en cours comme « la plus grande et la plus rapide évacuation de l'histoire. ».
Selon M. Moumtzis, depuis le début de la crise an Libye, il y a trois mois, plus de 803.000 personnes ont fui le pays. Près de 5. 000 personnes se trouvent bloquées aux frontières tunisiennes, égyptiennes et nigériennes. Environ 200.000 personnes déplacées internes ont été recueillies par les populations locales.
